1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1038)


    Datte: 16/06/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1037) - Au bout d’un temps interminable, je sentis l’avion atterrir … et je ne tardais pas à être déchargée, puis il me sembla avoir été oubliée, car j’avais l’impression d’avoir attendu un long moment avant de sentir de nouveau la caisse bouger. Aux voix que j’entendais, je compris que des personnes venaient chercher la caisse pour l’emporter à bord d’un camion. On me débarqua de nouveau. Le papillon était devenu douloureux ainsi que mon bas-ventre, la non jouissance devenait une vraie torture et j’espérais qu’on allait rapidement me libérer. Lorsqu’on enleva l’un des panneaux de bois, je fus éblouie par une lumière artificielle. Je me trouvais dans un hangar. Une femme forte, l’air sévère me regardait avec un sourire pervers. - Eh bien ! Voilà une chienne qui a l’air bien fatiguée ! Je pense qu’une bonne douche devrait la réveiller. Qu’on la sorte, qu’on l’emmène dans une salle d’eau et qu’on s’occupe de la remettre en état ! Un homme à l’allure carrée, élégamment vêtu, mais portant un collier ras de cou avec un anneau, vint me sortir de la cage. Cela fut très douloureux de devoir me déplier après avoir passé un temps indéfinissable dans cette cage étroite tel un contorsionniste. Mais il ne me laissa pas prendre le moindre temps pour m’étirer et me tira par le bras derrière lui. Nous arrivâmes dans une pièce entièrement carrelée, sol, murs et plafond. Il y avait seulement deux choses dans ...
    ... cette pièce : un tuyau relié à un robinet, et un trou dans le sol près de l’un des murs, où le sol se creusait. Il me fit signe, sans un mot de me dévêtir, d’enlever les lanières qui tenait le papillon toujours vibrant contre mon clitoris douloureux, et de me plaquer au mur dos à lui d’abord. Il ouvrit alors le robinet au maximum et dirigea le tuyau vers moi, d’où sortit un fort jet d’eau qui me parut glacé et qui me plaqua encore plus contre la paroi. Effectivement ça réveillait ! Puis il me fit signe de me tourner et m’appliqua le même traitement, insistant sur mon sexe et mon cul, qu’il me demanda de présenter, écartant pour l’un mes lèvres intimes, pour l’autre mes deux globes charnus, me cambrant pour mieux m’offrir. Je fus ensuite conduite dans une sorte d’hôtel, du moins vu de l’intérieur. Je sus très vite que plus qu’un hôtel c’était une véritable maison close. L’homme qui m’avait « douchée » m’emmena dans une chambre à la propreté évidente mais minimalement équipée. Il m’ordonna de me reposer un peu. Je m’allongeais donc sur le lit et me laissais bercer par le silence qui régnait et m’assoupis. Il revint, à ce que j’évalue être une bonne heure après et il me tendit ma tenue « de voyage » qu’il me rendit une fois que je fus jugée reposée. Je n’attendis pas longtemps. Très vite un homme arriva, bedonnant, grisonnant, à l’haleine chargée. Je n’avais pas eu l’occasion de voir la lumière du jour depuis que j’avais été encagée. Et la chambre n’avait pas de fenêtre. Je ne ...
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