Nicolas (1)
Datte: 28/07/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... un sourire mais les yeux partis dans un autre ailleurs. Je suis subjugué par le mouvement du bout coloré de ses seins, auréolés de ronds plus clairs. Je sombre doucement dans le plaisir et la jouissance en accompagnant son mouvement. Maintenant elle râle et crie. Ce départ m’a complètement réveillé et excité, je force le mouvement de galopade en poussant violement en cadence mon ventre contre son assise. Mes efforts sont ponctués d’un râle de bucheron soulignant ses cris de jouissance. Mes mains sur ses hanches la maintiennent sur mon dard pour lui labourer son intérieur. C’en est trop pour moi, des sentiments les plus bestiaux me submergent nous partons dans une cavalcade diabolique où chacun libère ses pulsions les plus secrètes à grands renforts de râles et de hurlements. Avec maman, j’ai l’impression de découvrir d’autres dimensions de la passion amoureuses que moi aussi je ne m’étais jamais autorisées, dans cette confrontation de nos muscles, de nos sens, chacun extériorise sa violence. Brusquement j’explose en elle, me vidant à grands spasmes. Nos ébats ont fait valdinguer la couette, maman, le regard déchiré d’une série d’orgasmes suffoque, puis anéantie, elle se laisse retomber sur moi. Dans une demi-inconscience tremblante je l’enserre dans mes bras pour un grand câlin sensuel. Nous nous calmons doucement, transformant notre passion en tendresse… Nous sommes tous les deux allongés, l’un près de l’autre, un peu exténués de ce réveil en fanfare. Cet exercice semble ...
... avoir mis ma mère de bonne humeur, elle rigole de notre situation. Elle confesse qu’elle n’avait jamais encore connue cette dimension de sa sexualité. Très vite, notre échange prend l’allure d’un câlin tendre et passionné. J’éprouve le besoin d’explorer et découvrir chaque parcelle du corps de cette nouvelle partenaire, ma mère que je connais si peu. Cette clarté de nouveau jour, dans cette chambre que je n’avais que peu pratiquée jusqu’à présent accompagnent mes découvertes. Je couvre tout son corps de baisers, m’attardant sur tel grain de beauté sur la cuisse ou telle tache sur l’épaule et puis cette moiteur de peau conséquence de nos efforts. Je réalise que, sous cet angle, je ne connais pas celle qui est l’origine de mes jours. Certes lorsque j’étais enfant nos caresses communes restaient très conventionnelles, entre corps habillés. Jusqu’alors je n’étais jamais introduit dans cette chambre - chose qui n’était même pas envisageable ! Maintenant que ce mur de conventions est écroulé, nous prenons possession de ce nouveau territoire. Ma mère connaissait mon corps de bébé mais cette gangue de pudeurs de nos principes l’a écarté de moi, renforcée d’absence de réciprocité. Notre relation s’était cantonnée au domaine valorisé de la parole. C‘était peut-être aussi une déformation due à son métier. Cette nouvelle intimité me permet aussi de découvrir ses points sensibles, sentir l’odeur de sa peau, la chatouiller, la lécher, alternant explorations et bavardages. En approfondissant ...