Estelle
Datte: 13/09/2019,
Catégories:
fh,
fffh,
hotel,
préservati,
pénétratio,
humour,
fantastiqu,
fantastiq,
... réfléchir. Je voyais bien de quoi elle parlait ; d’autres flics avaient dû retrouver leurs collègues endormis devant chez moi, et à qui on avait laissé les longues barbes et les gros seins que Bazouk leur avait faits par mégarde ou pour s’entraîner… Mais de là à parler de kidnapping et de torture ! Je soupirai en gueulant tout seul : — Merde ! Et que cette pétasse sache qu’on était ici n’arrangeait pas mes affaires ; elle allait très certainement me balancer dès qu’elle pourrait… — Merde et re-merde ! En même temps, fallait que je m’en prenne qu’à moi ! C’était moi qu’avais été con ! Et qui continuais à déconner ! — Merde, merde, merde ! Fait chier ! Qu’est-ce que je devais faire ? Je n’arrivais pas à réfléchir… Et ma queue qu’était toujours connement tendue… et qui maintenant puait la moule vanillée… Je commençai par arracher la capote et l’envoyai valser dans un coin du bar. — Vous n’avez pas l’air d’un criminel… La voix de la jeune femme me sortit de mes pensées. Elle s’était rassise sur la banquette, à un mètre de moi et me regardait presque piteusement de ses beaux grands yeux bleus. Son chemisier était toujours ouvert, laissant apparaître son soutien-gorge qui exhaussait sa poitrine. — D’ailleurs, ce qui serait criminel… commença-t-elle. Je la considérai avec des yeux vides. Elle s’approcha doucement en contemplant ma bite qui malgré ma crise n’avait pas dégonflé d’un iota. — … ce serait de pas finir ce qu’on a commencé… Parfaitement hébété, je l’observai ouvrir et ...
... m’enfiler une nouvelle capote, cette fois-ci parfumée à la fraise, puis grimper pour reprendre sur mes genoux la position qu’elle avait deux minutes auparavant. Elle se frotta un instant à moi, s’excitant avec mon sexe qu’elle maintenait tendu sous elle. Sans réagir, je la laissai jouer encore avec ma bite, puis s’y empaler à nouveau et se remettre à se déhancher en gémissant. Physiquement, c’était agréable, mais j’avais vraiment plus du tout la tête à ça. D’ailleurs j’avais la tête à rien… même pas à réfléchir… Et elle qu’était trempée d’excitation, qui mouillait deux fois plus qu’avant… et qui se dandinait à fond en couinant et en râlant. — Oh qu’est-ce que j’aime ta queue, Gufti ! Aaaahhh ! Elle est trop bonne ! Hmmmmm ! Ouiiii ! Aaaahhh ! Mets-la-moi à fond, vas-y ! Aaaahhh ! Elle me saoulait, en fait. En premier lieu, fallait la faire taire… Surtout si elle gueulait mon nom à tout va ! Je la saisis par les hanches, et, sans me retirer de son sexe, la retournai pour l’asseoir sur la banquette. Puis, plaquant mes mains sur ses hanches, je la défonçai à toute allure ; de rapides et violents coups de bassin qui enfonçaient mon gland au plus profond de son vagin puis le ramenaient jusqu’à ses petites lèvres, le tout à une cadence infernale. De son côté, elle se mit à se caresser le clitoris, également à toute vitesse. Et elle gueulait, toujours plus fort. À tel point qu’au bout d’une ou deux minutes de ce traitement, j’aperçus le barman se pointer juste derrière moi. Il venait ...