1. un transport VIP inattendu. (2)


    Datte: 09/10/2019, Catégories: Hétéro

    ... centimes pièce en gros... Il prend vraiment les touristes pour des vaches à lait ! — S’il n’y avait que lui ! De quoi veux-tu qu’ils vivent, sans les touristes ? Alors ils en profitent : ce n’est pas leurs plantations de tomates, de bananes et d’orchidées qui les feraient vivre. De toute manière, j’ai envie de t’offrir cette fleur, ma puce. — T’es un amour... Te quiero, amor! Je filai un billet de 10 ¬ au vendeur qui me remercia en oscillant du buste en avant comme un Juif en train de prier et en joignant les mains. Nathalie huma profondément la rose, la baisa, et après l avoir raccourcie, la cala dans ses cheveux, du côté gauche ; à Tahiti, cela signifie « cœur pris ». Dans le restaurant, un duo de musiciens faisait danser ceux qui en avaient envie. L’un, au clavier, chantait assez bien ; et le jeune, aux percussions, devait être son fils car ils se ressemblaient beaucoup. Des tubes sud-américains, des boléros et rumbas nostalgiques appelaient à la danse. J’invitai Nathalie à danser. Nous étions sur la petite piste à essayer de nous mouvoir au rythme de la musique. La piste était pleine ; on faisait du sur-place. Nathalie se collait à moi, les deux bras passés autour de ma nuque et la tête collée à la mienne. Mes mains reposaient sur son dos ; l’une, même, reposait sur le bas de son dos, juste au renflement de son fessier. On essayait tant bien que mal de nous bouger au tempo de la mélodie. Nos ventres se frottaient, et Nathalie en profitait pour incruster le sien ...
    ... étroitement au mien. Les effets de ce traitement ne se firent pas attendre, et ma compagne me souffla à l’oreille : — Hum... C’est bon ce que je sens, là, tout contre mon ventre... Je bandais, et bien entendu elle le sentait. Nous terminâmes la danse, je payai notre facture et nous quittâmes le restaurant. Nathalie avait passé son bras sous le mien et marchait en frottant sa hanche contre la mienne. Le chemin pour arriver à l’hôtel nous parut long... très long ! Enfin on arrivait. L’ascenseur nous avala et nous projeta vitesse grand V au dix-huitième étage. Nathalie introduisit sa carte dans la serrure électronique et on entra. Sitôt à l’intérieur, mon hôtesse de l’air très particulière vint se blottir contre moi pour m’entraîner dans un baiser des plus tendres et violents à la fois. Tout en l’embrassant, je passai ma main dans son dos, sous son chemisier. Sa langue s’enroulait autour de la mienne dans une sarabande mimant une danse païenne. — Déshabille-moi... réussit-elle à me dire en reprenant son souffle. Elle s’était reculée, séparant son corps du mien. Ses mains s’affairaient sur ma ceinture. J’enlevai son dernier bouton. Elle leva les bras au ciel pour me faciliter la tâche. Je jetai son chemisier sur le lit et m’attaquai à sa jupe taille-basse fermée derrière, dans son dos, par une fermeture à glissière. Elle entama avec son bassin une sorte de danse polynésienne afin de faciliter la descente de sa jupe qui tomba à ses pieds sur la moquette. Dessous, elle ne portait rien, pas ...
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