1. un transport VIP inattendu. (2)


    Datte: 09/10/2019, Catégories: Hétéro

    ... même une culotte ou un string. Elle était là devant moi, toute nue. Pour vêtement, elle n’avait que ses escarpins aux hauts talons qui faisaient de ses jambes une œuvre d’art des plus érotiques... du moins, pour mon goût personnel. Jamais je n’avais vu ni possédé un si joli corps. Pas un seul bourrelet de cellulite malgré ses 43 ans, un grain fin de peau qui se transformait sous le passage de mes doigts. Le dos partagé par le léger sillon de sa colonne vertébrale venait mourir sur le haut de ses fesses rondes, fermes, d’une forme parfaite. Comment un homme normalement constitué, sain de corps et d’esprit, pouvait-il rester insensible devant une telle femme ? Moi, je n’étais pas insensible, et Nathalie s’en était rendu compte en descendant mon pantalon et mon caleçon qu’en deux mouvements des jambes je me libérai. Elle m’attira vers son lit où elle s’assit, me laissant debout devant elle. D’une main, elle se saisit de ma verge comme si elle voulait cueillir son fruit préféré. Elle approcha ses lèvres et déposa un baiser sur le gland qui était devenu dur et brillant. Elle la souleva pour la plaquer contre mon ventre, et de l’autre main elle emprisonna mes bourses. Sa bouche descendit encore, et d’un mouvement délicat de la langue elle lapa le corps de mon sexe de tout son long. Ses lèvres emprisonnèrent un testicule qu’elles aspirèrent délicatement jusqu’à le faire disparaître entièrement dans sa bouche. Mes mains se retrouvèrent sur sa tête, dans ses cheveux que je caressai ...
    ... tendrement. Elle libéra ma glande de reproduction pour s’occuper de l’autre à laquelle elle réserva le même traitement. C’était sublime ! Cette femme était la déesse de l’amour avec un grand « A » majuscule, la déesse de la sensualité... Elle devait être la réincarnation de l’une de ces déesses tentatrices qui, dans l’Iliade et l’Odyssée d’Homère, tentèrent de retenir Hercule dans leur île lors de son grand voyage de retour. Je ne me rendais pas compte de mon ridicule dans cette position, debout en chaussettes devant cette beauté qui me choyait, qui me goûtait tout en prenant son temps ! Elle s’amusait à présent avec mon gland qui frémissait à chaque contact avec sa langue. Sur l’orifice du méat une goutte apparut ; la langue de ma déesse s’en empara et la fit disparaître avant d’aller s’attarder sur le frein, sur la couronne... Je n’en pouvais plus ! Il fallait qu’elle prenne ma verge dans sa bouche, qu’elle la suce... Était-elle extralucide ? Lisait-elle dans mes pensées ? Il faut croire que c’était le cas car je n’avais pas fini de définir mon, mes envies que mon gland disparut dans cette bouche chaude, emprisonné par ces lèvres si douces. Elle me regardait tout en enfonçant ma verge plus profondément dans sa bouche. Je sentais sa langue jouer avec mon gland, le masser. Son regard traduisait toute sa sensualité, toute son envie de goûter aux plaisirs qu’elle avait imaginés dans ses fantasmes et qu’elle était en train de réaliser. De ses doigts, elle tira un peu la peau de ma ...
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