1. Notre esclave sexuelle au Cap d'Agde (9)


    Datte: 02/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe Lesbienne Anal

    Les amants pervers 4 : notre esclave sexuelle au Cap d’Agde (9ème partie)Je crois que les gars se sont donné le mot de l’autre côté de la cloison. C’est à un véritable mur de bites que Manon doit faire face.Elle est à quatre pattes. Greg s’approche d’elle. Il saisit le slip de notre jeune esclave. Un moment je me dis qu’il va l’arracher mais il se contente de le baisser sur ses genoux. Sa verge est tendue, raide comme un tonfa. Il se met en position, se guide de la main. Je vois son gland glisser entre les grandes lèvres humides de cette petite salope.Que Greg la baise ne l’empêche nullement de continuer à sucer. Elle branle le mec, il lui crache son jus au visage, le sperme coule sur son menton. Un autre prend le relai. Manon l’accueille mécaniquement. Elle n’a plus aucun contrôle, elle se comporte comme une poupée, un instrument du désir masculin, réceptacle de leur semence. Greg quitte sa chatte, la queue luisante, lubrifiée de mouille. Il écarte les fesses de Manon, ouvre la voie avec son pouce et, une nouvelle fois, franchit la barrière du sphincter rétif.Heureusement que Manon a la bouche pleine sans quoi ses cris rameuteraient toute la boîte. Greg s’en fiche, il ne se gêne pas pour lui éclater le cul.Plusieurs mecs lui giclent sur le visage à la suite, pendant que Greg la sodomise.Je finis par me lasser de ce spectacle.- Regarde-toi, dis-je à Manon, tu es couverte de sperme. Va faire un tour aux toilettes et une fois que tu es présentable, rejoins nous dans la grande ...
    ... salle.Nous passons par le vestiaire. Je me déshabille rapidement avant de me chausser de deux grandes cuissardes. Greg m’aide à attacher mon bustier noir. Je porte également un string en cuir mais j’ai dans l’idée que je ne vais pas le garder longtemps.Nous entrons dans le grand salon sur le rythme lourd d’un chant guttural.« Wenn du weinst, geht es mir gutDie Hand deiner Angst, füttert mein BlutFühre mich, halte michIch fühle dich, ich verlass Dich nicht »Le décor du grand salon est à la fois très élégant et d’un kitch suprême. Peu de nuances colorées : murs, plafond, meubles arborent des teintes de rouge et de noir. La faible lueur des néons éclaire à peine la pièce, à une exception tout de même, la petite scène où, parfois, un couple plus hardi vient baiser aux yeux de tous. Pour l’heure, une sorte de trône occupe le centre du plateau. C’est un fauteuil à grand dossier, aux montants décorés de volutes ouvragées recouvertes de peinture dorée. Les coussins sont en velours rouge à motifs floraux.Pour parfaire l’ambiance, trois filles entièrement nues s’enroulent, en accord avec la musique, langoureusement autour de barres de pole dance.Sur les grands canapés en skaï se mêlent les habitués et les nouveaux venus. Pour faire connaissance, des mains frôlent des cuisses et, quand elles ne sont pas repoussées, s’enhardissent à caresser les torses, palper les verges érigées, les poitrines que l’excitation soulève. Des dos constellés de sueur ondulent sous la lumière blafarde quand ...
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