Le contrat
Datte: 08/11/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
poilu(e)s,
Collègues / Travail
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
ffontaine,
Oral
fdanus,
hdanus,
confession,
occasion,
extraconj,
Un souvenir remontant à de nombreuses années. Tout jeune consultant, à environ vingt-cinq ans, en mission dans une ville de province, où je passais la semaine. C’était en quelque sorte dans une autre vie, et je travaillais à l’époque pour un grand groupe d’audit, mon client étant une grosse société de services informatiques. Je l’avais remarquée dès le premier jour. Elle était comptable au sein de la direction financière, en charge du recouvrement clients. Une jolie brune à la peau claire, dans cet âge moyen conservant la beauté de la jeunesse mais avec déjà le charme de la maturité, et elle me séduisait chaque fois que je l’apercevais. Poussé par une curiosité peut-être un peu perverse, j’étais allé consulter son dossier dans le fichier des salariés. Isabelle Dubois, née Scampio, tiens peut-être d’origine italienne, ce qui aurait expliqué un petit charme méditerranéen. Et la séduction des étrangères, avec leurs mystères, nous fait toujours rêver. Quarante-quatre ans, mariée, deux enfants, douze ans d’ancienneté dans la boîte. Jusque-là rien de bien original. Mais une belle femme, grande et à la ligne élancée, une bouche attirante, un peu boudeuse, des cheveux mi-longs, teintés en auburn et maintenus en chignon par une pince, dégageant une nuque donnant envie d’en caresser le velouté. Et en prime, de grands yeux clairs, sous de magnifiques sourcils, noirs et bien dessinés, qui d’entrée de jeu m’avaient donné des idées, au sujet d’autres pilosités, bien plus intimes, pour ...
... lesquelles j’avais déjà à l’époque une thèse sur leur relation avec la forme et la couleur des sourcils de ces dames… Par chance, au cours de ma mission, j’avais à passer du temps à la comptabilité pour en vérifier les états. Elle me saluait toujours d’un très officiel « Bonjour Monsieur », d’un timbre un peu cassé, conférant à sa voix une certaine sensualité, comme ces chanteuses italiennes qui nous susurrent la canzonetta. Je venais quérir des informations, peut-être plus souvent que nécessaire, ce qui me permettait de contempler ses jambes quand elle escaladait l’escabeau pour atteindre des dossiers anciens, archivés sur les étagères du haut. Du fait de l’été, elle était jambes nues, et mon imagination cavalait, j’imaginais le soyeux contact de la main sur ses beaux mollets lisses et bien galbés, puis pourquoi pas le long de cuisses douces pour finir par sentir sous mes doigts les mystères de la culotte. Et je ne me privais pas de glisser des yeux indiscrets dans son décolleté quand elle se penchait sur les tiroirs du bas. Elle avait ce genre de poitrine un peu lourde se prêtant bien à des visions tentantes au milieu des dentelles du soutien-gorge. Un modèle pigeonnant, s’efforçant de maintenir de beaux seins remuants, que j’essayais d’imaginer libres, échappés de leur écrin. À l’époque, marié depuis peu à une jeune et jolie vraie blonde aux seins menus, il était après tout normal que, par contraste, une brune mûre à la belle poitrine me fasse rêver par moment. Surtout là, en ...