1. Le "G", le ripou et les belles nanas (1ère partie)


    Datte: 11/11/2019, Catégories: fh, grosseins, préservati, pénétratio, fsodo,

    Bonnes fêtes de fin d’année à tout le monde !Protégez-vous ! L’année qui arrive, que nous réserve-t-elle ?Pour ma part, eh bien, rien d’extraordinaire : de nouveaux récits que, je l’espère, vous prendrez plaisir à lire ! Oh putain… J’ai la tête qui vient de servir de sac de frappe à un boxeur catégorie poids lourds, ou quoi ? Le temps de sortir de la brume, j’ai la sensation qu’un rat crevé est venu faire ses besoins dans ma bouche. Avec un grognement, j’ouvre les yeux et me retrouve dans une chambre qui n’est pas la mienne, rien qu’à voir le papier peint, j’ai pas des goûts de chiottes en matière de déco, moi ! — Putain… À côté de moi, une nana à poil, ce qui ne me surprend pas, la plupart du temps, quand j’émerge, y a une nana, voire deux dans mon pieu. Et c’est pas n’importe quelle nana, c’est une bombe, le genre de nana exotique qu’on trouve dans le Bronx, une hispano-latino, exactement comme j’aime. Une vraie bombe. Mais bon, vu que je n’ai aucun souvenir, impossible à dire si elle était aussi appétissante que bonne au pieu. Pour l’instant, elle a la tronche dans le cul, les yeux clos, et des bulles de salive qui se forment au coin des lèvres au fur et à mesure de ses ronflements. — Ah, la vache… Je me redresse un peu et mon dos m’envoie un signal d’alarme. — Aïe ! Soit je me suis bastonné hier soir, soit j’ai cloué la nana au pieu de toutes mes forces, et j’en paie le prix ce matin. Enfin, ce matin, le petit réveil digital posé par terre, au milieu des fringues, ...
    ... m’apprend qu’il est quand même 16 h 32. Je m’assois au bord du lit et mate la rue par la fenêtre. Rien à l’horizon. — Hum… Tiens, elle se réveille. Je me tourne vers elle et la regarde émerger du coltard comme moi quelques secondes auparavant. Je vois à sa tronche qu’elle est aussi fraîche que moi, et ça me fait sourire. — S’lut. Elle grogne quelque chose et se redresse un peu. — J’ai mal à la tête, merde ! Puta ! Je me passe une main dans les cheveux et vois dans la poubelle quatre capotes usagées. Bon, je vois, je me la suis farcie quatre fois, c’est pas mal… Je ramasse mon caleçon par terre et, en me levant pour l’enfiler, je lui demande : — Tu veux bien m’éclairer sur ce qui s’est passé hier soir ? Le temps que je fasse ça, je devine son regard sur ma queue et je la regarde : — Quoi ?— Non, rien. J’en ai jamais vu des comme ça, c’est tout. La note d’admiration dans son regard est flatteuse. — Merci. J’enfile mon t-shirt et me rassois à côté d’elle. — C’est le trou noir, baby, tu veux bien me rafraîchir la mémoire ? Je remarque les cadavres de bouteilles, trois, près de mes chaussures et de mon froc. On a vraiment dû bien s’amuser. Mais je m’en souviens pas du tout. Je baille alors qu’elle me dit : — Et les autres, ils dorment encore ? Les autres ? Quels autres ? — Mes copines, elles sont toujours là ?— Euh…— Je vois. T’as même pas eu la présence d’esprit d’aller me faire un café en te réveillant ? Non, mais elle sort d’où elle ? Elle rêve ou quoi ? — Super, j’ai vraiment de la ...
«1234...13»