1. Mon Ami (02)


    Datte: 16/11/2019, Catégories: fh, hh, fhh, hbi, copains, Masturbation intermast, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, hdanus, hsodo,

    Toute la journée je repensais à la nouvelle proposition que Paul m’avait faite de retourner quelques jours dans son chalet avec lui. Revenait à ma mémoire toute l’intensité de ce que nous avions vécu. À maintes reprises, j’avais failli succomber aux relances et subtiles provocations de Paul, mais j’avais décidé de fermer cette parenthèse ne souhaitant pas remettre en cause ma vie conjugale. Je craignais même, par peur, de perturber notre amitié et de le perdre. Certes je ne le considérais plus de la même manière ni ne le regardais avec les mêmes yeux depuis notre dernier séjour au chalet, mais j’espérais garder intacte notre amitié virile malgré ce petit écart. Je réalisais aussi à quel point je me sentais mal depuis cette expérience avec lui. Notre amitié n’était plus la même. Nous nous désirions. J’avais peur du non-retour, de mes sentiments, de ne plus rien pouvoir maîtriser, de commettre l’irréparable, de ne plus être moi-même. Il était l’ami tant rêvé de toutes les libertés de paroles. Je lui téléphonais donc dans l’après-midi et déclinais sa proposition en prétextant un week-end familial important avec ma femme et mes enfants ayant besoin de réfléchir un peu. Paul n’insista pas à ma grande surprise. Il abrégea la conversation puis raccrocha. En rentrant chez moi le soir je ne faisais que ruminer l’offre de Paul pendant le trajet, mon refus. Je passais la porte d’entrée, ma femme m’embrassa tendrement et m’annonça que mon pote était là ! Paul était confortablement ...
    ... installé sur le canapé dans le salon avec un verre de bière à la main. Il lui arrivait souvent de venir à l’improviste. J’aimais qu’il se sente chez lui chez moi, mais là sa présence me gênait. Je connaissais Paul. Je l’embrassais en lui demandant avec humour s’il avait une maison. J’enlevais ma veste de costume, ma cravate, déboutonnais mon col de chemise, me mis pieds nus, me lavai les mains, m’aspergeai le visage d’eau et allai pisser : des gestes habituels dans l’ordre méthodique lorsque je rentre à la maison. Un laps de temps nécessaire pour me détendre, reprendre mes esprits et couper le lien professionnel de la journée, un peu comme un changement de décor au théâtre ! Ce rituel avait des vertus apaisantes et leur simple répétition quotidienne me communiquait une certaine sérénité. Je servais un verre de vin à ma femme et me servis une bière. Je m’asseyais en face de Paul et le fixais dans les yeux pour deviner ses pensées. Je l’observais en silence. Je remarquais fugitivement son allure naturelle et nonchalante comme à l’accoutumée. Une équation subtile d’élégance et de virilité. Il émanait de sa personne une aura indéfinissable. Paul portait une veste de costume marine à rayures tennis sur une chemise blanche déboutonnée laissant apparaître quelques poils de son torse, un jean et des chaussures noires anglaises à lacets parfaitement cirées. Ma femme aimait beaucoup Paul et me parlait souvent de lui. Il était le style d’homme qui émeut et attendrit les femmes et dans lequel ...
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