Élodie, toi et ta famille je vous adore (2) - Histoires de Sexe

Élodie, toi et ta famille je vous adore (2)

Salut c’est votre folle de lycra Je suis Sophie et je vis en région parisienne, chez ma meilleure amie d’enfance, nous nous connaissons très bien au point d’être un peu voire très complices sexuellement. À ma grande surprise j’ai découvert que sa maman Caroline était aussi très complice avec sa fille comme avec moi maintenant. C’est ainsi qu’un matin la maman est venue nous réveiller alors que nous étions, Élodie et moi, nues sous les draps dans le même lit. Caroline ne pouvait pas ignorer les odeurs de minou qui se dégageaient de sous les draps. Ce matin-là, elle a été tellement douce avec nous, qu’elle m’en a fait mouiller mon entrejambe déjà poisseux de la veille. Pendant qu’elle se penchait sur nous, je pensais que la main qui s’appuyait sur mon ventre était là pour garder l’équilibre, mais en fait elle me caressait le corps pour le découvrir. J’étais très réceptive à ses attouchements et il ne m’a fallu que quelques minutes pour commencer à en soupirer plaisir. À ce rythme-là, Caroline n’allait pas être bien longue à me faire jouir, d’autant que maintenant, elle était sur ma poitrine à me pincer la pointe des tétons. — Tu sais Sophie, je ne sais pas si ta maman te l’a dit, mais quand nous étions jeunes, nous jouions déjà à ça toutes les deux. — Je suis contente de constater que nos filles ont récupéré ce plaisir des contacts et relations saphiques. Élodie était devenue experte pour me faire jouir, voilà que la maman était en train de prendre le relais. Mon amie ...

... d’enfance était en train de me regarder me faire caresser par sa mère, elle souriait, car à m’entendre soupirer, elle savait que j’allais bientôt prendre mon pied. Sentant que j’allais bientôt crier mon plaisir, Caroline s’est mise à m’embrasser, sans vraiment me laisser le choix. C’était vraiment très agréable que de se faire diriger par une femme d’expérience, elle savait donner du plaisir, elle connaissait le corps d’une femme, et savait le faire jouir. Quand je suis partie pour le septième ciel, Élodie a aidé sa mère à me caresser en douceur, j’étais vraiment bien. — C’est la première fois que je te fais jouir ma chérie et j’aimerais bien en avoir à nouveau l’occasion. C’est vrai que quelque part j’étais un peu la deuxième fille de Caroline, nous avions fait toutes nos bêtises ensemble, souvent sous le regard amusé de sa mère. Nous partions en vacances ensemble, malheureusement ma mère n’avait pas d’homme contrairement à Caroline et en plus ce dernier avait l’air un peu porté sur la chose. Quand Gilles ne travaillait pas, il passait son temps à honorer sa femme, j’avais aussi appris par Élodie qu’il adorait sentir leurs petites culottes. À vrai dire, tout comme moi, mon amie d’enfance ne connaissait pas son papa biologique, c’est pour cela que Caroline n’avait pas trop de scrupules quant à la relation que la mère et la fille avaient avec le père. C’est ainsi que j’ai découvert qu’il adorait aussi renifler mes culottes, bref mes odeurs intimes n’avaient plus grand secret pour lui. ...