1. Une femme pour deux. Épisode 3


    Datte: 08/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe Première fois

    ... restés debout. Carole jetait son sac et son châle sur le canapé alors qu’on se rapprochait d’elle. Chacun d’un côté, nous la caressions à quatre mains tout en la déshabillant entièrement. Une fois nue elle se jeta sur le lit en se pelotonnant dans le couvre-lit. François fut plus prompt que moi à retirer ses vêtements et il fut donc le premier à rejoindre Carole.Finalement ça m’arrangeait bien. Je les laissais commencer sans moi. Carole était dos à moi et François commençait à la peloter un peu partout. Puis ce fut elle qui pris l’initiative en le basculant sur le dos et en embouchant sa bite déjà tendue vers le plafond. Elle était à quatre pattes, le cul vers moi et faisait des va-et-vient sur le pieu raide de François. Je m’approchais du lit, m’asseyais sur le bord et à mon tour, je prenais possession de son corps avec mes doigts.Je lui malaxais ses gros nichons dont les pointes s’allongeaient sous mes doigts. J’embrassais son dos, ses épaules, je lui lançais des « Suce ma salope ! » « Suce-le bien, t’aimes ça hein sucer des bites ? » Je descendais mes mains plus bas et mes doigts rencontraient d’autres visiteurs déjà plantés dans la chatte de Carole. Elle ruisselait. Les doigts de François étaient trempés. Je mouillais les miens et lui en enfilais deux dans le trou du cul sans peine. Elle gémissait de plus en plus fort jusqu’à échapper à nos mains inquisitrices et venir se planter sur la queue de François en une seule poussée.A califourchon, elle ondulait, fichée sur le ...
    ... dard turgescent. Les yeux fermés. La tête basculée en arrière. Elle râlait telle une tigresse en chaleur. Elle se pétrissait les nibards. Plus rien n’existait autour d’elle, que son plaisir, sa jouissance. Une bombe pouvait tomber, elle serait restée plantée sur cette queue à se faire du bien.J’étais scotché. Elle était belle. Je ne voyais qu’elle. Même François n’existait plus. Son corps se paraît de perles de sueur. Elle brillait dans la pénombre. Son ventre allait et venait en ondulant. Elle cria son premier orgasme en se pinçant fortement les tétons. Je voyais mon François tout rouge, le cou tendu, crispé. Je me doutais qu’il ne tiendrait plus très longtemps. Surtout qu’après un très bref moment de répit, Carole chevauchait de plus belle son fougueux étalon.François lui prit les hanches et c’est là que je le vis s’arc-bouter, soulevant sa cavalière. Dans un grognement a****l je devinais qu’il se vidait en elle par longs jets que soulignait chaque spasme de son ventre.Encore quelques va-et-vient sur la bite mollissante et se fut Carole qui explosait à son tour. Là aussi elle était belle. Elle se recroquevillait, ses cheveux touchaient la poitrine de François puis, dans la même seconde se redressait la tête rejetée en arrière. Elle se pinçait les seins, tirait les bouts. Son ventre était encore secoué de spasmes. L’orgasme avait dû être fort. Comme je l’aimais à ce moment là. Elle avait pris un tel plaisir que j’étais presque ému.Ce qui fut également différent, c’est qu’étant ...