1. Première communion


    Datte: 14/02/2020, Catégories: grp, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, fgode, fdanus, attache, bougie, sm,

    Petite rue à l’ombre du Panthéon, immeubles anciens donnant l’impression d’aller se coucher sur la chaussée. À droite une boutique aux vitres foncées, au-dessus une enseigne lumineuse de faible intensité dessine le mot bar. Je pousse la porte, une musique assourdissante emplit l’atmosphère, musique métal où les basses règnent en maître. Les murs, peints d’une couleur sombre, sont presque entièrement recouverts de posters, ils annoncent des concerts ou représentent des chanteurs, des chanteuses, aussi des affiches de films, toutes de couleur noire, rouge, parfois avec un peu de blanc pour faciliter la lecture. J’ai du mal à me frayer un passage entre tous les consommateurs. La lumière, diffusée par quelques plafonniers, est faible. Les garçons sont vêtus de tenues sombres, quelques filles portent un chemisier blanc sur des jeans ou des jupes noirs, leurs yeux sont outrageusement maquillés. Leurs cheveux sont soit noir jais, soit teints en vert fluo ou en bleu électrique, au fond je distingue une rousse. Puis, de dos, face au bar, j’aperçois une chevelure blonde qui retombe sur un blouson de cuir, Marie probablement…Je suis venu pour elle. *** Marie, une amie d’enfance, fille d’un professeur de médecine qui se fait remarquer par des prises de position très conservatrices dès qu’il est question de sexualité. Marie a été la copine de mon meilleur ami, Jean. Et puis un jour, tout en conservant des relations amicales, Jean m’a annoncé l’arrêt de son flirt. — Elle va trop loin ...
    ... Marie. Je l’ai questionné, en vain ; il se retranchait derrière le sceau du secret. C’était en septembre dernier. Nous avons effectué notre première année de fac. Début juillet, Jean est parti en Provence chez ses grands-parents, moi en Bretagne dans la maison familiale, Marie quant à elle est restée sur Paris. Et puis avant-hier, Jean m’a téléphoné : — Je viens de recevoir un appel de Marie, elle souhaite ta présence à ses côtés le 24 juillet dans un bar, vers 23 heures.— Pourquoi ?— Toujours ces pratiques, enfin tu verras bien… elle m’a seulement souligné que ta présence pour elle était importante et scellerait à vie notre amitié à tous les trois.— Tu ne seras pas là !— Non, je crois qu’elle veut te dire ce que je ne t’ai jamais révélé.— Bon, je prendrai le TGV demain, d’ailleurs ici je m’ennuie déjà. *** — Hello, Marie, Marie ! Elle se retourne, je me fraie un passage, m’approche d’elle. Je m’apprête à lui donner une bise, sa joue se dérobe, sa bouche entre en contact avec la mienne, je sens sa langue contre mes lèvres, stupéfait je m’ouvre à son baiser. — C’est tellement mieux ainsi, me dit-elle. Puis, après quelques échanges de banalités, Marie me présente deux de ses amies dont la fille rousse aperçue. Marie s’éclipse et me dit : — À tout à l’heure… Nous parlons avec difficulté à cause du volume de la musique, nos corps sont proches, se frôlent, l’une d’elle pose sa main sur ma cuisse. Leurs vêtements, leur maquillage m’étonnent mais leurs propos sont empreints de ...
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