1. Notre approche plus poussée du libertinage. Texte #2 (1)


    Datte: 14/02/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    Après notre première aventure au bois, nous avons quitté la France pour déménager au Québec. Le temps de nous installer et de prendre nos repères dans notre nouveau pays, ma femme me faisait part, désormais de plus en plus souvent, de ses fantasmes jusqu’alors cachés et qu’elle pensait être capable de vouloir vivre. La première expérience qu’elle m’avait offert semblait l’avoir libérée et elle se laissait aller à me confier ce qu’elle avait, probablement si longtemps, étouffé et enfoui au fond d’elle. Souhaitant tester ses nouvelles aptitudes en douceur, je tentais tout d’abord, d’intégrer dans nos conversations et peu à peu dans nos activités sexuelles, la présence d’un de nos amis, Claude, qui lui plaisait bien, récemment divorcé. J’avais commencé à le mettre dans nos scénarios quand nous parlions de ses fantasmes et pendant nos préliminaires où je lui demandais de fermer ses yeux et de penser à lui. Au début, elle émit des réticences envers ce jeu car il s’agissait d’un ami et que, pour elle, il était hors de question que nous mêlions nos familles et amis à nos activités sexuelles, mais, je lui ai fait comprendre que je voyais bien qu’il lui plaisait et que, visiblement, le courant passait bien aussi avec lui de son côté, il n’y avait pas de mal à s’en servir comme stimulant et rien qu’en imagination. Ça a marché et ça fonctionnait même très bien puisqu’elle jouissait plus fort, même quand je la pénétrais. Nous avons, dès cette période, et à plusieurs reprises après le ...
    ... succès de cesorgasmes liés à lui, organisé des rencontres Café ou bières ou vin ou dîner ou souper... Histoire de le sortir de ses pensées de célibataire et pour nous de jouer nos jeux coquins. Je dois avouer que je souhaitais tenter une approche en lien avec notre fantasme à vivre. Et dès les premières fois, j’avais demandé à ma femme de faire en sorte qu’il puisse plonger ses yeux dans son décolleté. Ce qu’elle aimait, car très fière de sa poitrine. Puis, peu à peu, j’ai insisté pour qu’elle s’arrange pour porter des robes ou jupes et qu’elle fasse en sorte que, sous prétexte de ne pas le vouloir ou s’en apercevoir et surtout de ne pas le faire volontairement, il voit sa culotte.... Bien que rétive les premières fois, nous en parlions parfois quand il était là mais loin de nous, et surtout après son départ, elle s’excitait de la situation. De plus en plus fréquemment, elle jouait de ses charmes et Claude ne loupait rien du merveilleux spectacle qu’elle lui donnait. Lui-même avait semble-t-il du mal à cacher les érections qu’elle lui procurait. Nous pouvions, par moment, voir le superbe résultat de son côté voyeur. Pour ma part, je bandais à l’idée de la baiser avec lui ou de le regarder la prendre et la faire crier son plaisir et je suis sur qu’elle commençait aussi à s’imaginer prise par sa belle bite. C’est presque naturellement, qu’elle me fit, un beau jour, part de son désir d’ôter sapetite culotte pour lui, afin qu’il puisse admirer son sexe. Puisqu’elle était excitée ...
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