1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (25) Nouvelles séances SM


    Datte: 19/02/2020, Catégories: Dans la zone rouge,

    J’ai longtemps hésité avant de publier ce récit. Il contient des passages qui choqueront inévitablement. Je souhaite ne pas recevoir de leçons, ces moments extrêmes étant derrière nous. Je répète que nous n’avons été contraints à rien, même si notre volonté était contrainte par notre abandon total vers l’hypersexualité pour moi et le candaulisme pour Philippe. Il y a d’autres aspects de la période Rachid que nous avions évoqués sur le blog et que je préfère enfouir dans ma mémoire. J’ai finalement décidé de parler de celui-ci pour que l’on comprenne bien où nous ont conduit un candaulisme et une hypersexualité sans limites, qui m’avait placé sous le contrôle d’un fauve, Rachid, lui-même sous l’influence de mon ennemie Marie C, dont j’ai déjà expliqué qu’elle voulait tout faire pour me séparer de Philippe. Je veux aussi expliquer pourquoi j’ai accepté tout cela. Il y avait d’abord l’emprise qu’avait alors sur moi Rachid, dont je n’imaginais pas à l’époque pouvoir me passer. Il suffisait d’ailleurs qu’il pose les mains sur moi et commence à me caresser, puis à me posséder pour que soit annihilée chez moi toute volonté de m’opposer à ce que voulait pour moi mon homme, mon mâle, mon maître. Pour l’état-civil, j’étais Mme Philippe T., mais dans la réalité j’étais la femelle de Rachid. J’avais déjà connu beaucoup d’amants avant de la rencontrer, mais dès la première fois où il m’avait prise, j’ai eu le sentiment d’un paroxysme de plaisir, de n’avoir jamais rien connu avant. ...
    ... Philippe, sur les conseils de notre concierge Georges, avait trouvé celui qui m’avait fait définitivement basculé vers l’hypersexualité, permettant d’assumer enfin tous ses fantasmes candaulistes. Chaque coït avec Rachid entrainait des orgasmes qui me laissaient au bord de l’évanouissement, en particulier quand Philippe assistait à nos ébats. Je lui offrais ce qu’il avait tant attendu, il me semblait que ma chatte était comme le fourreau de l’épée de Rachid et je ne me lassais jamais d’être baisée par Rachid. Nous ne voulions pas comprendre que nous avions croisé la route d’un prédateur, d’un petit voyou qui, à travers nous, réglait ses comptes avec les « bourge », me transformant toujours davantage en « salope intégrale » et veillant aussi à humilier Philippe, ce notable qu’il méprisait et dont il était aussi devenu l’amant et le mâle. J’adorais d’ailleurs voir Rachid chevaucher Philippe, entendre les plaintes de douleur et de plaisir de celui-ci pendant que notre mâle lui cassait littéralement le cul. J’avais honte de mon comportement, une fois passée la vague du plaisir. Mon éducation très religieuse, qui fait partie de l’identité culturelle dans mon pays d’origine, y contribuait très largement. En acceptant les séances les plus « hard », j’avais le sentiment d’une juste punition pour mes fautes. Et ce sentiment de faute remontait à loin, à l’époque de mon adolescence, liée à mon histoire avec mon père, que je poussais par arrogance à bout pour qu’il me punisse. Ce que j’adorais ...
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