1. L'enseigne


    Datte: 20/03/2020, Catégories: fh, fhh, hplusag, extracon, grossexe, poilu(e)s, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation entreseins, Oral double, Partouze / Groupe

    (suite de : « En avril, ne te découvre pas d’un fil ») La suite de la journée fut bien plus sage… Yann et Dominique furent très occupés car des problèmes électriques les empêchaient de mettre en place ma nouvelle enseigne. Ils passèrent plusieurs heures à parcourir le labyrinthe obscur des fils qui ne menaient nulle part, de ceux qui n’arrivaient pas… À tel point que ma présence ne les préoccupaient absolument pas ! De guerre lasse, ils décidèrent de tirer une nouvelle ligne électrique uniquement destinée à mon enseigne. Manquant de matériel, ils abandonnèrent. Dominique reviendrait demain afin d’installer cette ligne. Je leur offris une bière, les écoutant parler entre eux de fils, d’inter…, choses auxquelles je ne comprenais vraiment rien. Ils repartirent chacun de leur côté. De retour à la maison, je retrouvai Alain, mon tendre mari, et nous avons passé la soirée sur la terrasse. Apéritif, jacuzzi… Même trempé dans l’eau, l’incendie allumé ce matin ne s’éteignit pas. Je me suis très vite retrouvée avec en main un bel instrument qui, sans concurrencer celui de l’homme-singe, n’en était pas moins très appétissant. J’en ai usé et abusé, des doigts, des lèvres avant qu’Alain ne me retourne, appuyée sur le rebord du jacuzzi, pour m’embrocher lentement. La lance à incendie, en trois ou quatre salves, est parvenue à m’offrir un bel orgasme, à éteindre le feu qui brûlait mon ventre. Un léger souper, une douche fraîche et… au lit ! Hélas, ma nuit fut encore peuplée de délires ...
    ... troublants. Il y était question de fils électriques, d’outils… Je me suis même retrouvée ligotée de fils multicolores, à la merci d’un puissant gorille dont les énormes mains ont déchiré ma robe. À demi-nue, impuissante, j’ai subi ses assauts titanesques, m’envolant malgré tout vers une jouissance extraordinaire. Je me suis éveillée en sursaut à l’instant où, dans un long cri, l’animal, planté jusqu’à la garde dans mon ventre, m’a submergée de longs jets de semence. Le pire c’est que je venais de jouir à cette simple évocation de mon esprit. Mon orgasme a dû être discret car Alain dormait. S’il savait ! Il attendra quelques jours avant que je lui avoue mon forfait ! (C’est encore plus excitant, autant pour lui que pour moi…) Allez ! Un peu de courage, il faut tout de même penser au travail, on y retourne ! Vers dix heures, Yann se démène dans le placard renfermant les tableaux électriques. Il n’y a pas la place pour deux, encore moins pour un géant comme Dominique qui ne pourrait même pas s’y retourner. Il s’offre donc une pause. Je lui demande de me rendre un petit service en descendant à la cave car j’ai des fûts de bière à ranger. Ses biceps seront plus efficaces que les miens pour ce genre d’activité. Nous laissons donc Yann à son ouvrage. La cave est dallée, propre et quasiment rangée. C’est une vieille cave de pierre, voûtée, fraîche, très haute de plafond. J’indique à Dominique le travail à effectuer. Je profite d’être là pour ranger des cartons de verres, d’assiettes et ...
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