1. Nos premières ébauches


    Datte: 23/05/2020, Catégories: fff, fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme jeu,

    Résumé de l’épisode précédent : J’ai rencontré Laure avec son mari au restaurant. Elle m’a tout de suite conquise, moi qui pourtant n’ai pas de penchants particuliers pour mes sœurs. Blonde, un brin trop sage : tout ce qu’il faut pour rêver. J’ai osé lui laisser mes coordonnées en lui suggérant de m’appeler pour la dessiner. Les journées passent monotones. L’hiver s’installe à Paris. Il fait gris. Il fait froid. Quelques éclairs de joie et de couleur dans cet océan triste : mes séances de dessin. J’oublie, je me concentre sur mes sujets, j’essaie de les coucher le plus fidèlement possible sur le papier. Ce soir mon modèle préféré livre son corps à mon inspiration. Ma fidèle amie Judith prête son corps magnifique à mon inspiration. Brune aux cheveux noirs de jais, avec une sage frange qui découvre deux yeux bleus magnifiques. Elle pose alanguie sur un fauteuil, les jambes relevées posées sur l’accoudoir, la tête en arrière, le chemisier ouvert découvre ses deux jolis seins, qui relèvent la tête effrontés. Je la croque au fusain, marquant les ombres du doigt. Dans la cheminée une bûche crépite et réchauffe des éclats de son feu, qui remplit le silence de ses ronflements, le grand salon de cet appartement bourgeois parisien. Je l’aime bien ce nid douillet que j’ai aménagé avec soin, son bois sombre blessé d’années de pas pressés aux talons acérés en parquet, et le blanc immaculé de son plafond aux moulures élégantes. Je butte sur l’entrecuisse : Judith mutine et coquine, ...
    ... laisse imperceptiblement descendre sa jupe sur ses jambes en les écartant lentement. Je rajoute des ombres du doigt, mais ce que j’entrevois au creux de ces jambes ouvertes sans pudeur me perturbe dans ma concentration. Qu’elle est belle et désirable ma Judith ainsi ! — Arrête de bouger ! Garde la pose ! je n’y arrive plus. Un léger sourire éclaire sa bouche sensuelle, dont elle humecte les lèvres de sa jolie langue rose coquine. Clic, clac, sprit ! La musique du feu remplit le silence. Je me concentre et puis… zut ! Dring, dring : le téléphone me sort de ma douce torpeur ! — Alors, je bouge ou je bouge pas ? questionne évidemment Judith ! Dring, dring ! Et puis zut, je n’y arriverai jamais ! Je noircis rageusement du doigt l’entrejambe de Judith. — J’y vais. Et je vois ma Judith se relever langoureusement, et s’en aller balançant les hanches, bien cambrée vers le téléphone posé sur la cheminée. En passant elle me frôle, la garce, et se retourne, provocatrice un sein échappé fièrement de son chemisier. Qu’elle est belle quand se balance ainsi ! — Allo…— …— Non vous ne vous trompez pas, vous êtes bien chez Valérie Marais.— …— Je suis une amie.— …— Vous souhaitez poser ? Oui, bien sûr, Valérie cherche toujours de nouveaux talents.— …— Vous venez du lap-dance ? Vous posez souvent ?— …— Ah ! Non ?— …— C’est une première fois ?— …— Oui, bien sûr c’est possible, non c’est assez facile vous verrez— …— Je vais la chercher, elle vous expliquera elle-même ! Judith revient vers moi le ...
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