1. Soeur Gertrude (2)


    Datte: 22/07/2020, Catégories: f, fh, fplusag, jeunes, profélève, religion, piscine, école, Masturbation intermast,

    A 42 ans, je me retrouve enseignante à Neuilly dans deux classes de Bac + 2 auxquelles je dispense mon savoir en maths et sciences naturelles. Dès les premiers jours j’ai été confrontée à deux problèmes: Dans mes attributions de « sciences nat. » rentrent la biologie et l’hygiène et mon programme prévoit des rappels tant d’anatomie que de protection contre les MST. Dans la première des classes, je dois expliquer aux élèves le mécanisme de la reproduction et, pour ce faire je dispose de tableaux illustrés où l’on voit des coupes anatomiques des organes de l’homme. Ne voilà-t-il pas qu’un des élèves, un peu goguenard, lance : « Ma sœur, il n’en a pas une grosse celui-là !! Vous n’avez peut être pas d’expérience à ce sujet mais la mienne est bien plus grosse. Voulez-vous que je la montre ?? » Comment réagir ? Toute la classe m’étudiait. J’ai piqué un fard et je me suis reprise en disant : « Bon, vous ne me connaissez pas, alors précisons bien que je n’accepte pas de telles interruptions et qu’à la prochaine, c’est le renvoi pour 2 jours. Par ailleurs, mon expérience en la matière vous ne la connaissez pas non plus et vous ne pouvez donc que la supposer. Maintenant, quant à montrer votre sexe aux autres, je ne vous le conseille pas. Supposez que vous ayez la « plus petite » de la classe, vous seriez la risée de tous pour toute l’année. » J’étais assez fière de ma pirouette, surtout en entendant toute la classe rire franchement, non pas de moi, mais de l’interrupteur qui n’en ...
    ... menait pas large. Celui-là il faudrait que je le tienne à l’œil. Cela d’autant plus qu’a la fin du cours, il vint me trouver en disant : « Ma Sœur, je voudrais m’excuser. Je n’aurais pas dû dire cela. Mais on a déjà fait des comparaisons entre nous et soyez certaine que c’est moi qui ai la plus grosse de la classe » Je lui ai tourné le dos en rétorquant : «Tant mieux pour toi, mais c’est sans intérêt pour moi.» Le second problème auquel j’ai été confrontée s’est passé dans l’autre classe: J’y parlais de la protection contre les MST et particulièrement contre le sida. J’étais évidemment amenée à parler du rôle essentiel du préservatif. Je le faisais avec une certaine pudeur pour ne pas heurter ces jeunes. Comme outil pédagogique je disposais de quelques Durex et d’un vague bout de bois arrondi sur lequel je pouvais montrer comment enfiler la protection. J’avoue que la manipulation de ce bout de bois (qui avait tout d’un gode) me remettait en mémoire mes épisodes de lubricité sur le dossier de la chaise (voir épisode 1) et que je serrais les cuisses en tentant de penser à autre chose. Je sentais bien que toute la classe était au bord de la rigolade en me voyant manipuler ce préservatif pour l’enfiler sur le bois, mais mon statut de religieuse les freinait. Sauf un qui, au premier rang, un peu vautré sur son siège, me dévisagea et déclara : « Vous, ma sœur, on voit que vous n’avez pas l’habitude de ces objets. Vous savez, un bout de bois ce n’est pas comme un sexe. Vous ne voulez ...
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