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Soeur Gertrude (2)
Datte: 22/07/2020, Catégories: f, fh, fplusag, jeunes, profélève, religion, piscine, école, Masturbation intermast,
... longueurs de bassin, profitant pleinement de cette jouissance très physique de l’effort et du flux d’eau autour de moi. Un peu fatiguée, je me suis agrippée au rebord de la piscine pour récupérer un peu. Je n’avais pas vu que les deux «boys» étaient assis sur un banc voisin. À mon arrivée, ni une ni deux, ils se sont approchés de moi, se sont assis sur le bord, jambes pendant dans l’eau. Paul, le plus hardis des deux me dit : «Eh bien, ma sœur, vous nagez comme une déesse… vous avez d’ailleurs un corps de déesse!» Nous n’étions pas en classe et je pouvais donc modérer ma réponse à cette remarque somme toute assez gentille. Je répondis simplement : Allons, allons, vous êtes flatteur. … vous ne nagez plus ? C’est l’autre qui m’a répondu : « Non, on préfère vous voir nager ! » A ce moment, j’ai constaté que je me trouvais entourée par deux paires de cuisses musclées avec au centre de la fourche de chacune d’elle, un petit bout de tissu recouvrant, ma foi, une belle quantité d’attributs masculins. Je m’en voulais de regarder mais mes yeux y étaient attirés comme par un aimant. Mes deux gars suivaient évidemment mon regard et ne se gênaient pas pour ouvrir leurs cuisses de manière à accroire encore mon angle de vision. J’aurais dû les quitter, j’aurais dû reprendre ma natation. Au bas de mon ventre, je sentais comme une ventouse qui m’attirait là et qui réchauffait tout mon corps. Dieu, me dis-je, le Malin va-t-il encore me tenter, même dans l’eau ? Paul, quasi comme par ...
... inadvertance avait tellement ouvert les cuisses et tendu le tissu, le rendant trop petit, que sa verge et un testicule étaient à l’air libre, comme pour me narguer. J’ai su très vite que c’était volontaire car, ne le voilà qu’il mit sa main sur sa verge et très lentement en a décapuchonné le gland. J’étais tétanisée sur place et incapable de faire le moindre mouvement. Il souriait ce diable !! Cela faisait maintenant des années que je n’avais plus vu un sexe d’homme de si près et aussi manipulé visiblement pour moi. Mon regard y était rivé et quant à mon entrejambes, je ne vous raconte pas !!! Heureusement, personne d’autre ne nous voyait et mes gars agissaient avec prudence et discrétion. J’étais fascinée par cette verge qui prenait vie devant moi, pour moi et qui se redressait comme un serpent tentateur (Eh oui, le Malin peut prendre toute forme, c’est dans les Ecritures !) Dans mes souvenirs lointains je me rendais compte que Paul n’avait pas menti et que c’était vrai, comme il l’avait dit « il en avait une grosse ! » Cette situation devait cesser car elle était sans issue. Croyez-moi ou pas, j’avais une envie folle de manipuler ce pénis dressé, de le caresser et même, horreur, de m’en emparer dans ma bouche et de m’en repaître… Qu’allait en dire mon confesseur ? Heureusement, si l’on peut dire, Paul s’est laissé glisser dans l’eau faisant disparaître son sexe tentateur de ma vue. Mon répit n’a été que de courte durée car ce chenapan s’est laissé couler sous l’eau à mes cotés et, ...