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Soeur Gertrude (2)
Datte: 22/07/2020, Catégories: f, fh, fplusag, jeunes, profélève, religion, piscine, école, Masturbation intermast,
... en remontant il a osé glisser doucement sa main le long de mes jambes et cuisses jusqu’à mon pubis. Il n’a pas osé prolonger son contact mais, il s’est emparé de ma main, l’a glissée sous l’eau et y a mis sa verge toujours dressée et dure. J’ai cru à une brûlure au fer chaud .. c’était indescriptible cette sensation. Ce contact devait cesser… je devais retrouver en moi suffisamment d’énergie pour rompre le contact et pour m’enfuir de ce lieu de dépravation Paul n’en avait cure et adroitement, il se masturbait utilisant ma main comme il l’aurait fait de la sienne… il me caressait aussi les fesses et remontant le long de ma hanche, il s’est emparé d’un de mes seins qu’il s’est mis à palper. C’était abject mais délicieux et j’aurais voulu que ne cela ne prenne jamais fin. Son copain, toujours sur le bord regardait la scène avec délectation et j’ai constaté que son maillot avait aussi grandi en dimension, il était certainement en érection. Paul osait maintenant revenir vers mon pubis et je m’attendais à ce qu’il introduise ses doigts sous mon maillot pour découvrir et fouiller mon intimité. Je devais mettre fin à cela et c’est l’autre gars qui m’y a aidé en disant subitement : « attention.. on vient ! » . Merci Seigneur de m’avoir ainsi délivré de cette tentation. D’un coup de talon vigoureux j’ai quittée le bord du bassin tandis que Paul partait dans l’autre sens dans un crawl impeccable (j’espère qu’il avait remis ses attributs en place !!). Dans l’autobus du retour, il est ...
... venu s’asseoir à mes cotés et je sentais sa cuisse chaude contre la mienne, mais il n’a pas dit un mot ni fait un geste. De retour à l’institut les élèves se sont dispersés et, de loin Paul m’a fait un gentil petit signe de la main d’au revoir, ses yeux étaient rieurs mais sans méchanceté aucune. Je me suis précipitée à la chapelle et là, couchée au sol, bras en croix et figure sur le carrelage, je me suis mise à prier, à dire ma honte, à me repentir. Le froid des dalles de marbre avait réussi à me calmer et je suis restée ainsi de longs moments à me vider l’esprit de cet après midi maudit, de ces visions cauchemardesque, de ces gestes vils. Mais, la main qui avait entouré ce sexe d’homme en conservait encore comme l’empreinte, en conservait le souvenir de la chaleur, de la consistance, de la vie. Cette nuit-là, malgré tous mes efforts, je n’ai pu résister à la tentation, ma chatte appelait ma main, appelait mes doigts, avait besoin de jouir, avait besoin de satisfaire les appels de ma féminité. Ce fut une très longue masturbation. Les yeux fermés je me caressais, trouvant des endroits de plaisir dont j’avais oublié l’existence, redécouvrant un bouton gorgé de sang qui faisait onduler mon bassin lorsque je le manipulais. Tous les gestes de mon adolescence me revenaient. Je devais me retenir pour ne pas crier ma jouissance, pour ne pas hurler mon plaisir. Je me tordais sur mon lit, en proie à un plaisir contre lequel je ne résistais plus mais que, au contraire, je provoquais, je ...