1. Mélanie, étudiante à Bordeaux (18)


    Datte: 01/08/2020, Catégories: Trash,

    Cette nuit-là Sandrine jouit plusieurs fois, bien plus qu’elle ne s’en croyait capable, bien plus qu’elle n’avait joui ces dernières années. Elle pleura aussi, quand pour la troisième fois il prit sans pitié son anus meurtri et le pilonna avec la vigueur et la puissance d’un marteau-piqueur. Mais elle ne se dérobait jamais, au contraire elle allait au devant de ses coups de boutoir et offrait son corps menu au colosse qui la possédait. Il semblait pris d’une frénésie sexuelle ; et surtout, il semblait inépuisable, sa queue épaisse débandant tout au plus quelques minutes après chaque éjaculation. Après qu’il se fut vidé la première fois dans sa gorge, il la fit se coucher sur le dos et releva ses genoux pour les coller à ses épaules ; pliée en deux, Sandrine lui offrait sa vulve détrempée au-dessus de la large base noire du plug. Il se pencha sur elle et la goûta, les yeux rivés dans ceux embués de son amante. Sa langue épaisse glissa entre les lèvres de bas en haut, de nombreuses fois. Il se délectait autant de ses sucs enivrants que des râles de plaisir de Sandrine. — Tu es prête, je vois. Tu as envie de moi ? — Oui, s’il vous plaît ! Prenez-moi, baisez-moi, je n’en peux plus ! — D’accord. Tu veux que j’y aille doucement, ou fort ? Sandrine se rappela la taille redoutable de sa bite, mais elle n’en avait cure, elle la voulait en elle, qu’importe le prix à payer. — Comme vous le souhaitez, je vous veux en moi, c’est tout. Alors baisez-moi aussi fort que vous le pouvez... Oh ! ...
    ... Mon dieu... Mmm... En un instant il s’était repositionné au-dessus d’elle et son épieu s’était enfoncé dans le pertuis torride, le distendant à son calibre. — Tu es serrée, mais trempée, ma petite pute. Je vais bien t’élargir avant de m’attaquer à ton cul. Rendue folle par les coups de boutoir qui pilonnaient son entrejambe, Sandrine poussait des cris rauques au rythme de son suborneur. Les yeux révulsés de plaisir, elle se cambra et hurla sans retenue, submergée par un orgasme foudroyant qui la laissa pantelante, tous ses muscles relâchés. Mais lui n’avait pas joui, il ne ralentit pas le moins du monde sa cadence infernale. La sueur ruisselait sur son torse velu, se mêlant à celle de la petite blonde. Le choc des pelvis s’accompagnait d’un claquement liquide, en écho aux gémissements continus de Sandrine et aux grognements de Lenoir qui tentait de retenir sa jouissance. Puis il n’y tint plus, le spectacle de cette jolie femme transportée de plaisir par ses oeuvres eut raison de lui : sur un ultime coup de reins qui le propulsa plus loin encore dans sa matrice, il éjacula, les mains crochées aux hanches de son amante. Celle-ci, bouche ouverte sur un cri qui n’en finissait plus, était balayée par un nouvel orgasme ravageur. Lenoir s’écroula en avant, l’ensevelissant de sa masse sans qu’elle se plaigne, au contraire elle noua ses chevilles et ses mains dans son dos pour coller plus étroitement leurs corps trempés de sueur. Elle savourait cet instant, comblée et repue, le vagin ...
«1234»