Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée. (7) - Histoires de Sexe

Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée. (7)

... métro, direction Pigalle. On n’a aucun mal à trouver un cinéma X, et on s’y engouffre. Le caissier est surpris et ravi de voir une jeune et jolie femme dans ce lieu fréquenté par des hommes, et lui fait l’entrée gratuite. On arpente la salle pour repérer les lieux et voir la faune. Il y a pas mal d’hommes, occupés pour la plupart à s’astiquer la queue en solitaire, mais aussi deux jeunes minets ensemble et qui se roulent une pelle. Il y a des toilettes au fonds de la salle et on y emmène la petite, bien obéissante, toute excitée à l’idée de tous ces mâles en manque de sexe. Elle se déshabille entièrement, Christian met ses affaires dans son sac à dos, et on repart en salle. On s’installe tout à l’avant, entre l’écran et le premier rang, face au couloir central, bien à la vue de tous. L’écran nous éclaire, mais mon beauf a prévu une torche au cas où. Vanessa se penche en avant, et il éclaire sa chute de reins, mais aussi ma queue et celle de papy, que l’on s’est empressé de déballer. On bande déjà, et je frotte mon gland entre les miches de notre copine. Elle a encore du sperme dans sa raie, ça me sert de lubrifiant et je m’enfonce dans son anus comme dans du beurre. Je la lime, je la baise, je la défonce, et son grand père en fait autant avec sa bouche. Christian nous éclaire à tour de rôle, au fur et à mesure que l’on retire entièrement nos sexes pour mieux les réintroduire. La séance du métro, et l’enculer maintenant devant tout ce monde, m’excite à bloc, et je me ...

... laisse aller. Je jouis et je parle à très haute voix pour être entendu: — Salope, tu aimes ça te faire remplir le cul de foutre, je vais t’en donner putain, mais je ne vais pas être le seul. Tu vas prendre comme tu le mérites, trainée.................. J’ai fini ma vidange, et je change avec papy. Il sodomise sa petite fille tandis qu’elle me nettoie la queue. Je me retire et mon beauf prend la place, pour une pipe de rêve. Je range mon matos, et circule dans les rangs. J’accoste chacun des clients et leur parle de Vanessa. Je leur dit que c’est une jeune salope que l’on a eu la chance de rencontrer, une véritable nymphomane en manque de queues. Je leur dit aussi que l’on n’arrive pas à lui en fournir assez, qu’elle nous épuise, et que l’on est là pour chercher du renfort, la faire mettre par tous ceux qui le veulent. Au vu de la réaction des premiers je dois apporter quelques précisions: — Elle est largement majeure, même si elle parait jeune. — C’est une salope et non une pute, et c’est donc gratuit. — Elle est consentante et nullement forcée. — Ca va se passer aux toilettes pour plus de discrétion. — Ils pourront se farcir sa chatte et sa bouche, mais son cul est incontournable, il faut le lui casser. — Ils peuvent jouir à volonté dans l’orifice de leur choix. Ces précisions semblent les ravir tous, à l’exception des deux jeunes qui n’aiment pas les femmes, et qui après s’être embrassés, en sont à se sucer avec appétit. J’ai vu chacun des spectateurs, les ai convaincus à ...