1. Week-end anniversaire (6)


    Datte: 18/09/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    Salut c’est votre folle de lycra Dans les épisodes précédents je vous racontais comment dans ma jeunesse, je profitais des cours de danse de ma cousine Geneviève pour me rincer l’oeil en regardant elle et ses copines en petites tenues. C’est à cette époque que je me suis mis à aimer les dessous féminins. Pour mon 18e anniversaire elle et ses amies m’ont comblé. Les jours qui ont suivi, j’ai fait connaissance des parents d’Hélène, une amie de Geneviève. Le weekend qui suivait mes 18 ans, je perdais mon pucelage de devant avec Hélène et celui de derrière avec son papa et son frère. Claude, le papa d’Hélène, contrôlait tout chez lui et moi par la même occasion... C’est ainsi qu’en ayant découvert mes talents de travestie soumise, il me proposait de devenir sa secrétaire particulière dans son cabinet médical. J’ai l’impression que cela arrangeait Hélène qui était devenue ma maîtresse et qui était appelée à devenir ma compagne, voire plus... Je ne réalisais pas trop ce qui m’arrivait mais mes conditions de vie ne me déplaisaient pas. Les weekends qui suivirent concrétisaient les projets du papa. Très rapidement je suis parti vivre chez ma copine qui devenait ma compagne Hélène. Comme si de rien n’était, je continuais mes études au lycée. Pas une seule personne au bahut n’était au courant de ce qui se passait J’étais très fier de réussir garder ce secret, j’avais juste signalé mon changement d’adresse. Désormais tous les jours j’allais bosser avec des dessous et tous les soirs ...
    ... quand je rentrais chez Claude et sa fille je devais me faire belle. Tous les deux se mettaient d’accord sur ce que je devais porter et moi je portais ou plutôt j’enfilais. Disons que mes nuits étaient réservées à Hélène et pendant la journée, quand il avait besoin, j’étais la femelle de Claude. Le temps que je passais chez eux je le passais en femme. Du coup j’ai commencé à prendre certaines habitudes très féminines que j’essayais de contrôler ou de dissimuler quand je sortais. Redresser les bretelles de mon soutien-gorge, remonter mes collants, je frottais mes vêtements à la moindre à la moindre petite poussière qui tombait dessus. En fait j’étais en train de devenir précieuse. Claude voulait que je m’épile les sourcils proprement et que je sois toujours rasée de près, il voulait aussi que je me laisse pousser les cheveux. Moi qui avais déjà les cheveux relativement longs il ne m’a pas fallu longtemps pour pouvoir me faire une queue de cheval. En même temps je devenais expert pour honorer Hélène surtout expert pour donner du plaisir à son papa et son frère quand il passait. Claude avait acheté un beau collier très large en cuir je devais mettre dès que j’arrivais chez lui, c’était mon signe de soumission totale à leur famille. Mes conditions de vie et mon traitement infligé me plaisaient de plus en plus Je ne me nettoyais plus le sexe, il n’y avait qu’Hélène qui s’en occupait; du coup j’allais souvent bosser au bahut avec une grande odeur de liqueur et decyprine. J’adorais ...
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