-
COMMENT J’AI DÉCOUVERT MA BISEXUALITÉ
Datte: 19/09/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... de vision alors que la petite femme se glisse accroupie sous mon buste. En un ample mouvement, son dos caresse ma poitrine. Une main saisit mon sexe dressé et le guide vers la grotte humide qui lui est offerte en levrette. Elle pose fermement ses mains au sol tandis que j’agrippe ses seins moelleux. J’écarte un peu plus mes jambes et mes fesses autant pour être à la bonne hauteur que pour ressentir mieux l’incendie de mes zones érogènes. Je m’agite dans son antre avec fougue… Alors que nous haletons de plaisir, je perçois la sensation fraiche d’une capote humide habitée franchir le seuil de mon cul ouvert et deux mains se saisir de mes hanches. A partir de ce moment, je ne maitrise plus rien. Je me perçois comme une marionnette empalée sur son marionnettiste. Le rythme de notre plaisir nous est imposé par l’artiste qui s’avère un fameux amant. En sandwich entre les deux experts du trio amoureux, la tête me tourne et je me sens défaillir. Notre amie vibre de tout son corps, je sens les spasmes du phallus qui m’embroche et je me libère en un cri. Nous restons là, un moment, imbriqués puis nos désolidarisons en nous laissant tomber devant le feu de la cheminée. Demi-inconscients nous demeurons ...
... plusieurs minutes sans bouger puis nous caressons tendrement comme dans un nécessaire remerciement. Lorsque je reviens complétement à la conscience je lève les yeux sur la pendule murale. Je m’aperçois que le dernier bus va quitter son arrêt dans moins de deux minutes. Affolé, je m’arrache brusquement à ce tendre moment, jette mon tee-shirt et mes chaussettes dans mon sac, saute dans mon pantalon et mes chaussures et m’enfuis en psalmodiant des remerciements à mes complices. J’imagine les pensées de la conductrice de l’engin qui voit ainsi arriver, courant, un fou plus que demi-nu, la tenue en désordre, une main cramponnée à la ceinture de son jean et l’autre trainant son sac à dos, claudiquant et se marchant sur les lacets. Je vois son sourire hilare lorsque je franchis, comme je peux la porte coulissante et me rue sur un carré de sièges pour me poser et finir de me vêtir. C’est à ce moment que le bus démarre et que, déséquilibré, je lâche la ceinture de mon pantalon qui tombe mollement à mes pieds. Nous passons alors devant la maison de mes nouveaux amis qui, habillés plus décemment et debout devant leur porte, saluent mon indécente nudité épilée de gestes d’adieu et de sourires hilares.