1. Le fol anniversaire d'Antonia (4)


    Datte: 21/09/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    Peu après le départ d’Antonia, Prisca vient s’installer à ma droite. Simultanément, à gauche, Joëlle prend place. Je n’avais pas remarqué ses yeux magnifiques marrons. Je suis troublé et je me retrouve à bafouiller devant une jeune fille qui a eu18 ans la semaine précédente. Elle a vite fait de le remarquer. Elle se lève pour aller se resservir et en passant la jambe par-dessus le banc, elle me laisse volontairement apercevoir le tissu blanc qui masque son sexe. Quand elle revient, Prisca est partie. Nous discutons de tout et rien, et terminons nos assiettes. Je vais remplir nos deux verres au bar, sans alcool pour elle. J’y retourne une seconde fois un peu plus tard. Joëlle est "rafraichissante". De l’autre côté de la table, Viviane me fait les gros yeux. Heureusement, Joëlle a envie de se dégourdir les jambes et nous partons dans le parc. La nuit tombe. Lorsque nous sommes hors de vue des fêtards, Joëlle me prend la main : — Je sais tout… — Tu sais quoi ? — Je sais que tu es sorti avec mes cousines, je sais que tu étais avec Prisca un peu plus tôt. Elle marque un temps d’arrêt puis dit tout de go : — Et je sais que tu leur as donné beaucoup de plaisir. Je me demande ce que je fais là et j’ai autant envie de fuir que de rester. Le second sentiment l’emporte et j’entraine Joëlle derrière une haie de thuyas. Nous nous asseyons face à face, décalés. Baiser. Bizarre. Étrange, mais très bon. Elle est impatiente et caresse mon entrejambe. Je lui dis d’arrêter, qu’elle montra ...
    ... toute seule. Joëlle perd soudain l’aplomb qu’elle avait jusqu’ici, comme si elle avait tout préparé et que ma remarque faisait s’effondrer tout son plan. Je l’attire vers moi et l’embrasse à nouveau. Un baiser plus long durant lequel je caresse doucement sa poitrine menue. Elle recule doucement, rit nerveusement. Je souris : — Qu’y a-t-il, Joëlle ? Tu hésites ? — Non… Enfin, oui… Je ne sais pas !, bafouille-t-elle — Je ne veux pas que tu sois gênée. On retourne à la fête si tu veux. — Oh non ! Je veux rester ici, avec toi. C’est juste que... Je laisse le silence envahir l’atmosphère. — C’est juste que je n’aie jamais été caressée par un garçon. Je reste interloqué : — Il faut m’en dire plus, Joëlle. — En fait, j’ai déjà fait des fellations à deux garçons, mais je n’ai jamais été intime avec un garçon. Je n’ai jamais fait l’amour. — Et ça te gêne que je caresse ta poitrine ? — C’est… c’était très agréable... c’est juste un peu nouveau… Je remonte la main sur sa poitrine et la caresse doucement. Joëlle semble gênée et je m’apprête à retirer ma main mais elle la retient. Nouveau baiser. Je fais tomber la bretelle gauche de sa robe. En tirant légèrement sur le tissu, son sein apparait, blanc, rond, neuf. Je le caresse, le pince un peu. Joëlle souffle. La chute de la seconde bretelle fait tomber le haut de sa robe, m’offrant sa jolie poitrine. Je me penche et lèche ses petits seins. Divin. Je commence à bander. Joëlle remonte ses bretelles et rajuste sa robe. Je prends sa main et la ...
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