1. La bénévole de la paroisse - 1.


    Datte: 10/10/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    (Note : ceci est la nouvelle version d’un texte déjà publié… Il est agrémenté d’une suite de trois épisodes). En ce dimanche d’été, le soleil est brûlant. J’aurais préféré ne pas être en extérieur avec ce temps-là. Mais il est de mon devoir de bonne catholique de faire du porte à porte après la messe pour aider les gens. Avant de partir, je lisse ma jupe sur mes hanches en me regardant dans la glace du dressing… Je suis parée pour la tournée dominicale de distribution des périodes catholiques et des gâteaux que j’ai confectionnés. Aujourd’hui, on m’a déjà claqué trois portes au nez dès que je me suis présentée. Pas cool comme disent les jeunes ! Désormais, je suis nerveuse et découragée par le manque de savoir-vivre de ces personnes. Je repensais à ce que Léa, sa seule amie à la paroisse lui avait recommandé : • Les gens sont plus aimables et plus réceptifs si tu leur offres des gâteaux. Le locataire de la deuxième maison m’arrache la boite de gâteaux avant même que je n’ouvre la bouche. J’hésite à aller frapper à une quatrième maison. Je me dis en moi-même que je ne suis pas douée pour le porte à porte. J’aurais aimé que Léa soit là pour m’aider. Alors que j’approche de la maison voisine, je pensai qu’avec cette chaleur moite, je n’étais pas à l’aise avec mes talons, ma jupe noire et mon chemisier blanc. J’aurais du m’habiller différemment ! En partant de la maison ce matin, je me suis habillée de façon stricte. Mais la chaleur torride m’a obligé à retirer ma veste et à ...
    ... ouvrir quelques boutons de mon chemisier, révélant plus de peau que je n’aurais voulu. Naïve, je ne me rends pas compte que mes gros seins pales enfermés dans un petit-soutien-gorge qui a du mal à les soutenir sont visibles et luisants de sueur. Ma jupe est un peu trop courte et elle colle à mes jambes ! Elle est à peine suffisante pour couvrir le haut de mes bas et les lignes de ma culotte sont marquées sur mes fesses. Décidément, c’est un mauvais choix… mais on de se refait pas… Ne suis-je pas ce qu’on appelle une « bourgeoise » ? Mes talons galbent mes jambes. Avec mes lunettes et mes longs cheveux bruns tenus en chignon, je me dis que je suis l’incarnation d’une femme d’affaire sexy. De plus en plus mal à l’aise, je me dis que je ferais mieux d’abandonner. Mais je monte les marches de la maison suivante, une bâtisse assez ancienne quelque peu décrépite. Des chiffres rouillés indiquent « 45 » mais il y a une marque qui montre qu’il manque un « 6 ». Je pense en moi-même que je ne suis peut-être pas dans le bon quartier… La paroisse avait divisé la ville pour ses bénévoles. J’avais choisi un des quartiers dans les plus vieux où mes collègues ne veulent pas aller. J’étais désolée que personne ne se soit inscrit pour m’accompagner, mais je ne pouvais les blâmer. Le quartier était vieux et la population d’approche difficile. D’ailleurs, ce quartier était évité par les autres bénévoles depuis qu’Agathe, une jeune fille de 18 ans, en était revenue enceinte. Ses parents affirmaient ...
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