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La bénévole de la paroisse - 1.
Datte: 10/10/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... même sympathiser avec elle pour revenir. Pierre poussa une dernière fois sa bite au fond de mon cul et dit : • C’est pour toi… Salope ! En même temps, son sexe gonfla et me remplit le cul avec une décharge de liquide chaud, la troisième que je recevais de lui. Le jeune sortit son membre et finit d’éjaculer sur mon dos. Au même moment, un autre orgasme me terrassa. Je frissonnais sous le poids de Pierre, ses hanches cognant le sol avec enthousiasme en plein extase : • Oh mon Dieu… Pierre ! Tu es inépuisable ! Le garçon me laissa là, vautrée dans la fange. Ma tête reposait sur le sol et je pouvais voir les brochures que j’avais apportées, éparpillées tout autour de moi ! Je relevai mon visage, une feuille collée sur ma joue. Le sperme avait séché dans mes cheveux mais j’étais encore humide partout ailleurs. Je relevai tant bien que mal mon corps endolori et réussis à garder l’équilibre sur mes talons. Je ne vis ni ses vêtements ni les garçons. J’errai jusqu’à la salle de bain. J’aperçus une nouvelle femme dans le miroir. Mon beau chignon était complètement défait et parsemé de longs brins blancs. Mon rouge à lèvre barbouillait mon visage. Des filaments blancs pendaient de mes lunettes sur mes joues. Des larmes séchées complétaient le tout. Je ris : « je suis mignonne après tout !». Mes seins aussi étaient couverts de sperme mais le pire c’était ma chatte. Elle dégoulinait, formant une flaque sur le sol. Mon cul aussi, laissait le liquide couler le long de mes cuisses. Je ...
... m’assis sur les toilettes pour uriner et nettoyer mon sexe. Jacques passa devant la et prit une photo d’elle en demandant : • Comment c’était Madame MARTIN ? Avez-vous passé un bon moment ? Je hochais la tête : • Les garçons, vous savez y faire avec les filles. Je ne sais même plus combien de fois j’ai joui. • Votre mari ne peut pas vous satisfaire comme ça n’est-ce pas ? Je pensai : « devrais-je laisser mon mari me faire cela, baiser mes trois trous ? Il ne pourrait pas de toute façon. Et je n’ai plus envie qu’il m’approche » Jacques haussa les épaules avant de s’éloigner. Elle l’appela : • Qu’avez-vous fait de mes vêtements les garçons ? Je lavai mes mains avant de courir après lui. Dans la cuisine, il me tendit une lingette chaude. Le maquillage et le sperme essuyés, je me sentais nue. Je saisis son sexe, demandant où était mes vêtements. Jacques fut désolé : • Je ne peux plus Madame MARTIN. Si vous en voulez encore il faudra revenir. Vous pourrez même amener votre fille si vous voulez ! Ça pourrait être intéressant mais je ne pense pas qu’Amandine aimerait voir sa mère labourée pas ses anciens camarades de classe. Jacques me tendit ma jupe et mon chemisier. Les boutons étaient complètement arrachés et le soutien-gorge était introuvable. Je fis de son mieux pour me vêtir convenablement avec le reste de ses vêtements. Jacques me conduisit à la porte. Ils échangèrent leur numéro avant que je ne sorte. Les hommes dans la rue la regardaient différemment que plus tôt quand elle était ...