1. La bénévole de la paroisse - 1.


    Datte: 10/10/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... chaque côté de moi, tenant mes bras. Thierry et Jacques sont en face de moi, de grands sourires éclairant leurs visages. • Ne vous inquiétez pas Madame MARTIN, nous savons comment bien traiter nos invités. Thierry s’est mis à genoux devant moi. Il trousse ma jupe, exposant ainsi ma petite culotte de soie noire. Je m’écrie : • Que fais-tu ? Thierry me sourit. Il met son index sur le petit monticule sous la culotte. Il sent aussitôt que la chatte est déjà bien humide. J’essaie tant bien que mal à échapper à l’emprise des deux autres garçons et de fermer mes jambes. Mais ils me maintiennent bien, jambes ouvertes. Bruno commente alors : • Vous avez de beaux seins. Et son doigt fait sauter un bouton, puis un autre. Paniquée, je regardais les boutons sauter un par un… J’aurais voulu l’arrêter mais j’étais comme paralysée. Bientôt, je suis à moitié nue, dépoitraillée, la jupe troussée sur mes hanches rondes. • Vous ne devriez pas me faire ça les garçons. Je suis mariée… J’ai un mari… Pierre chuchota dans mon oreille : • Je suis sûr que ça ne dérangera pas Monsieur MARTIN de vous prêter à des beaux mâles comme nous, bien pourvus et en manque de femme ! Je fermai les yeux… Comment lutter contre ces quatre garçons visiblement en rut ? Thierry frottait toujours ses doigts sur la culotte de soie. Il serait déjà à l’intérieur de sa chatte si le petit bout de tissu ne faisait barrage. Bruno et Pierre avait baissé mon soutien-gorge et avaient saisi un sein chacun. Ils les massaient, ...
    ... triturant les mamelons entre leurs doigts puissants. Je ne savais pas où était Jacques mais elle se doutait qu’il préparait quelque chose. Thierry la taquina : • Vous êtes toute mouillée Madame MARTIN. Vous appréciez n’est-ce pas ? • S’il vous plait, arrêtez… Je gémis… mon corps me trahissait… Je sentais mon corps réagir malgré moi et la jouissance monter. Je protestais de plus en plus mollement : • J’ai un mari… et une fille… Les doigts de Thierry étaient merveilleux et pourtant ils n’avaient pas pénétré mon intimité. Les deux autres garçons étaient occupés à malaxer mes seins. Ils ne tenaient plus mes bras. Pierre pris ma main et la conduisit à sa queue. Il enroula mes doigts autour de son membre dressé. Puis il m’aida à la caresser initiant un mouvement de va et vient. J’ouvris les yeux pour voir avec horreur comment je le masturbais. Pierre desserra son étreinte sur sa main et sourit quand je ne lâchai pas le membre, subjuguée par la chaude sensation que j’éprouvais au creux de sa main. Il rit en lançant à la cantonade : • Je pense qu’elle aime ça les gars ! Je ne fis pas attention au commentaire… Bruno avait conduit son autre main à mon sexe. Les deux bites étaient beaucoup plus grandes que celle de son mari. Elles étaient déjà raides dans ses mains mais elles n’arrêtaient pas de grossir et de s’allonger… Mon cœur battait la chamade dans ma poitrine. Jacques dit alors : • Enlève sa culotte Thierry ! Pierre renchérit : • Oh oui… je pense que le moment est venu ! Je croisai le ...
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