Escapade à Avignon - Histoires de Sexe

Escapade à Avignon

... davantage et bientôt mon phallus entier a disparu dans l’anus distendu de la belle brune. Je bande aussi fort qu’à chaque expérience du genre avec une femme. En dehors du plaisir physique que procure la sensation de mon pénis dans cette gaine étroite et chaude, c’est aussi la vision des allers et retours de mon sexe dans un beau fessier féminin qui me fait de l’effet. De plus, la présence de ma blonde compagne qui s’est glissée sous notre amie pour lui sucer le bouton d’amour me fait l’effet d’un puissant aphrodisiaque et décuple mon plaisir, d’autant plus qu’Angèle ne voulant pas laisser Nat en dehors de notre accouplement lui lèche et lui branle la chatte et le cul. J’accélère et ralentis alternativement mes mouvements pour profiter le plus longtemps possible des sensations que nous éprouvons. Puis, m’immobilisant un instant, je demande à Angèle : - Tu aimes ça ? Ça te plaît de sentir ma queue bien dure dans ton petit trou ? - Oh oui ! C’est bon !… Vas-y, bourre bien mon petit cul, tu es un amour ! Allez, fais-moi jouir, défonce-moi ! Je sens parfaitement l’œillet se resserrer autour de mon érection, comme pris dans un étau et cela m’excite encore plus. Je sors très lentement de l’étroit fourreau. Quand il est entièrement sorti, Nat s’en empare pour le sucer goulûment. Sa langue s’enroule autour du gland, pour y goûter des saveurs nouvelles. Je ne suis pas loin de la ...

... jouissance et je suis prêt à éjaculer dans la gorge de ma chérie mais je préfère garder mon foutre pour éteindre le feu dans le cul d’Angèle. - Oh, François, s’il te plaît, ne me fait pas languir… Remet-la-moi dans le cul ! Je sors mon dard de la bouche de Nat avec un léger regret puis, après m’être solidement accroché aux poignées d’amour de ma partenaire, je m’empale avec vigueur et prends une cadence qui laisse présager à Angèle que le dénouement est proche. Elle-même n’est pas loin de l’orgasme et l’attend m’encourageant à l’y conduire : - Oh oui !… Plus vite ! Plus fort ! Oh oui !… Rentre-moi ta bite jusqu’au couilles ! Je ressors entièrement mon membre, je ne sais combien de fois, pour le replonger aussitôt jusqu’à la garde dans ce cul qui me donne tant de plaisir. Quand je sens la jouissance monter, j’accentue encore plus le rythme de mes coups de reins alors qu’Angèle se cambre pour mieux sentir ma queue au plus profond de ses entrailles. Elle contracte une dernière fois sa rondelle autour de mon membre, sentant l’éjaculation imminente et le sperme jaillir pour inonder son joli cul. Mon épouse a joui par contagion, et nos corps tout entier voués aux plaisirs sont anéantis par la jouissance. Ce sont trois corps inertes qui ferment les yeux, laissant vagabonder leur esprit vers toutes sortes de fantasmes érotiques. Le lendemain, c’est à regret que nous prenons la route du retour.