1. LA VALSE (1)


    Datte: 18/10/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... En-dessous elle portait une classique mais non moins redoutable micro-jupe à motif écossais. Si ses lunettes de soleil avaient été des lunettes de vue, elle aurait été la petite écolière à laquelle n’importe quel mâle en proie à ses pulsions aurait voulu apprendre la vie. Lorsqu’elle se pencha pour attraper son sac à main, ses fesses se découvrirent, probablement couvertes seulement par un string. Son fessier était d’ailleurs, de ce qu’Eve avait pu voir et entendre, l’un des principaux atouts d’Adélie : rond, fier et volumineux, celui-ci contrastait avec sa taille de guêpe. Il ne manquait jamais d’aimanter les regards, masculins comme féminins, et chaque jour où Adélie avait eu la bonté de porter un pantalon un tant soit peu moulant, c’était une bénédiction. Ayant 21 ans, elle avait troqué ses espoirs de croissance contre une acceptation totale et confiante de sa petite taille. De la sorte, ledit fessier était remonté et raffermi par une paire de talons aiguilles vernis d’un noir profond qui venaient ajouter une quinzaine de centimètres à son 1m59. Elle évoluait avec ses escarpins dans l’aisance la plus totale, faisant frétiller de petites chaussettes courtes dont l’élégance de la frise en dentelle contrastait avec le reste de son accoutrement. - Moi qui voulais être relativement discrète pour m’immiscer, c’est foutu ! s’exclama Eve, mi agacée mi taquine. Tu sais que tu peux t’habiller sexy sans être vulgaire ? - Et toi, tu sais que je peux m’habiller comme je veux et même ...
    ... être vulgaire si j’ai envie ? lui rétorqua Adélie avec l’un de ses sourires mystiques, cette fois-ci saucé à l’acide. Je me sens bien comme ça… Tu verras, là-bas, pour être discret, mieux vaut être visible ! Et puis je serais plus efficace habillée comme ça. - Plus efficace ? - Au passage, tu peux parler, tu t’es vue ? lui envoya Adélie pour éluder la question. Certes, si l’accoutrement d’Adélie ébouillantait ses propres hormones comme celles des badauds, celui d’Eve n’était pas en reste. Elle aussi portait un chemiser blanc, mais plus sage, ou du moins plus stratégique, elle avait préféré le rentrer dans son pantalon sans faire de nœud. Le vêtement léger épousait ses épaules fines, suivait sans faillir sa taille marquée. Pour des raisons essentiellement professionnelles, elle avait laissé quelques boutons divorcés, offrant au regard decaresser une poitrine plantureuse. Ses seins lourds et généreux, Eve aimait habituellement les cacher afin que son interlocuteur – et parfois son interlocutrice – puisse avoir le loisir de les deviner, puisse se demander quelle était la taille de cette imposante poitrine. Les plus prudents pensaient C, les moins expérimentés avançaient G ou F, mais Eve abordait un fier 85D. Le chemisier disparaissait sous un legging foncé noir, simili jean et pourtant présentable. Il dessinait ses hanches larges qui boudaient une taille fine et un ventre plat. Son allure professionnelle et sexy était complétée par une paire d’escarpins fermés noirs et vernis ...
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