1. Les Beltaynes (3)


    Datte: 21/10/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... jour, et si vous êtes admise comme Novice parmi nous, vous passerez l’essentiel de votre temps en notre présence complètement nue. Autant vous y habituer. D’ailleurs, nous allons vous imiter. » Une poignée de secondes plus tard, les trois femmes se révélaient aux yeux les unes des autres. L’éclat des ampoules jouaient sur les corps dénudés, et variait, tout en nuances et en contrastes, le long des courbes des seins, des cuisses, des épaules. On aurait dit l’incarnation des Grâces, et Raphaël, s’il avait pu assister à ce spectacle, en aurait sans doute tiré une fresque inoubliable. Laetitia tira Jeanne par la main et l’emmena dans la cabine. De loin, elle ouvrit le robinet. Presque aussitôt, une eau à la température idéale se mit à ruisseler en cascades joyeuses. « Viens », dit Laetitia à Jeanne. Pour la jeune femme, la présence d’un autre corps féminin nu contre le sien constituait une expérience nouvelle et transgressive, mais peut-être moins que de sentir les yeux de sa sœur parcourir ses formes, observer ses défauts, apprécier ses appâts. « Procédons », ajouta Laetitia, qui tendait le flacon de gel douche à Chloé. « Mais vous... », commença Jeanne. Laetitia lui ferma la bouche d’un baiser. La langue de la Complie s’enroula autour de la langue de Jeanne, alors que Jeanne sentait les mains de sa sœur appliquer le gel sur ses seins, sur son ventre, sur ses épaules, dans son dos. « Elle fait ça super bien ! » songea Jeanne, qui savourait les mouvements des doigts, les ...
    ... pressions exercées du gras du pouce, les effleurements par les pointes des seins de sa sœur, lors de ce nettoyage qui se transformait peu à peu en un massage d’une sensualité brûlante. Jeanne soupira. Laetitia interrompit son baiser pour lancer un éclat de rire et ajouter : « Novice, vous avez persiflé tout à l’heure. Votre sœur s’adapte vite, et je suis certaine qu’elle sera à la hauteur de ses obligations. — Complie, j’aimerais vous croire sans hésitation », répondit Chloé. « Cependant, si je puis vous rappeler nos contraintes... — Bien entendu, bien entendu. Procédez, je vous prie. — Jeanne, il va falloir que tu me montres ta chatte. — Pardon ? », demanda Jeanne en se tournant vers sa sœur. Chloé brandissait un rasoir jetable. « Epilation intégrale. Tu n’as pas vu ? » Jeanne n’avait effectivement pas vu, mais sur la remarque de Chloé, elle s’apercevait à présent que les toisons de Laetitia et de Chloé avaient été rasées de frais. Sans doute du matin même. Chloé, flacon de mousse à raser en main, s’agenouilla devant sa sœur, et commença à appliquer la lotion. Bientôt, une jolie mousse crémeuse et compacte, accumulée sur le mont de Vénus, disparut par lés successifs de l’envergure de la lame qui tranchait net les poils de Jeanne. Jeanne sentait l’haleine de Laetitia dans son cou, les mains de Laetitia sur ses seins, agaçant les pointes, caressant la courbure. Chloé dit : « Ecarte un peu plus les cuisses, tu veux ? Il faut que j’enlève tout ce qui dépasse, au niveau de tes lèvres. — ...
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