1. PLAISIRS AU CAP D’AGDE


    Datte: 24/10/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    Cette histoire se déroule au cours d’un été voila quelques années. J’ai 20 ans au moment des faits. Mathias, un ami de la fac et moi sommes partis pour quelques jours au cap d’Agde. Objectif, drague bronzette et bain de mer. C’est l’époque bénie ou on ose tout sans se poser aucune question. Mon ami et moi ne manquons pas de tchatche comme on dit dans le sud pour aborder la gente féminine. Les premiers jours au cap s’avèrent pourtant un échec en terme de résultats pour ce qui est des filles. Ce n’est pas faute d’avoir abordé, d’abord deux jolies scandinaves sur la plage qui ne parlaient pas français. Notre niveau d’anglais ne nous a pas permis d’aller plus loin, ensuite des lycéennes en vacances qui ne semblaient guère intéressées. Au troisième jour de notre périple, nous ne décourageons pas et nous rendons dans une fête foraine pour passer un bon moment et pourquoi pas croiser des demoiselles avec qui sympathiser. L’endroit ne manque effectivement pas de jolies filles soit accompagnées soit trop occupées sur les attractions ou manèges pour être sensibles à nos tentatives d’approche. La soirée promet d’être un nouveau fiasco mais alors que nous sommes sur le point de partir, mon attention est captée par le stand de tir au pistolet à eau ou batifolent deux jolies femmes d’approximativement la quarantaine apparemment seules. Je fais signe à Mathias qui ne semble pas intéressé. «Laisse tomber mec c’est deux mamans, leurs familles doivent pas être loin» J’insiste malgré tout pour ...
    ... tenter notre chance, la première est une jolie blonde bien roulée, hanches larges et un beau derrière bien rebondi, la seconde est une brune ronde aux formes bien réparties , de longs cheveux ondulés qui entourent un visage de femme mature, une gros cul bien dodu comme je les aime et par dessus tout une grosse paire de seins qui déforme son t-shirt. N’ayant rien à perdre, je m’approche du stand et me munit aussi d’un pistolet pour tenter ma chance, au jeu et aussi d’entamer la conversation. Mathias voyant mon intérêt me rejoint. La conversation s’engage, nous payons un tour au filles. En visant juste, je parviens à gagner une grosse peluche que je décide d’offrir à la brune aux gros nichons qui m’a littéralement tapé dans l’œil. Les deux amies semblent abordables et jouent un moment avec nous. Nous nous éloignons ensuite un peu du stand et faisons plus ample connaissance, ces dames sont bien seules, en vacances pour quelques jours dans un gîte qu’elles ont loué. La brune sur qui j’ai jeté mon dévolu se prénomme Sylvie et son amie que Mathias commence à convoiter s’appelle Cécile. Elles ont approximativement entre 35 et 40 ans et travaillent toutes les deux dans un hôpital de la région montpelliéraine, l’une comme aide-soignante et l’autre comme secrétaire. Lorsque Mathias demande comment se fait-il que de si jolies filles ne soient pas accompagnées, nous n’aurons comme toute réponse qu’un rire long de sous-entendu. Elles ne se sont pas dupes et voient bien notre petit numéro ...
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