PLAISIRS AU CAP D’AGDE - Histoires de Sexe

PLAISIRS AU CAP D’AGDE

... de drague mais ne nous remballent pas pour autant. Nous rions bien, les filles prennent confiance, nous parvenons fastidieusement à les inviter à nous rejoindre le soir dans un bar du port non loin du bord de mer pour boire un verre. Euphoriques comme des enfants à l’idée de retrouver nos deux quadra, nous nous faisons beaux dans notre hôtel, impatients de les retrouver. Le fait d’avoir rencard avec des femmes de 20 ans nos aînées qui pourraient être nos mères nous rend d’autant plus enthousiastes et ce n’est pas sans un certain trac que nous rejoignons le bar ou nous avons rendez-vous. Lorsque nous arrivons, les filles sont déjà devant l’entrée. Elles se sont également faites belles pour nous retrouver, Cécile porte un chemisier avec un jupe assez courte et des talons hauts. Sylvie est resplendissante dans une légère robe de soirée noire aux épaules nues. Le bas arrive bien au-dessus du genou et le haut offre un profond décolleté sur son impressionnante poitrine. En un mot, elles sont bandantes. A ce moment là, Mathias et moi sommes conscients que tout est possible mais sommes toutefois loin de nous douter de la tournure que va prendre la soirée. Nous trinquons autour d’un rhum, Mathias est assis à côté de Cécile, son bras posé sur le haut de la banquette au dessus des épaules de sa conquête, Je suis assis à côté de Sylvie et ne la quitte pas du regard. J’essaie de ne pas regarder dans son décolleté mais mon regard est comme aspiré par ses énormes seins. Je lui glisse ...

... quelques compliments discrets comme «Tu as de très jolis yeux». Mes approches de jeune charmeur pour le moins audacieux l’amusent, les filles se prêtent au jeu. Après un troisième verre de rhum, les têtes commencent à tourner et les filles se lâchent, les premières allusions au sexe arrivent, elles rient à gorge déployée. Je pose ma main sur la cuisse de Sylvie et Mathias caresse l’épaule de Cécile en lui parlant au creux de l’oreille. Le patron du bar nous donne deux bons d’entrée gratuite pour une boite située à quelques pas. L’occasion idéale d’inviter ces dames à boire un dernier verre. Elles acceptent de nous suivre, cette affaire commence à sentir bon. Dans la boite, la chaleur est étouffante, j’invite Sylvie à une samba pour le moins collée serré, ma main descend le long de son dos, jusqu’au haut de ses fesses, à travers sa robe, je devine qu’elle porte un string et mon excitation grimpe. Elle remonte ma main jusqu’à ses hanches en disant «Doucement jeune homme, tu descends un peu trop bas» mais au fur et à mesure qu’on danse, nos corps se collent de plus en plus. Collé dans son dos, je tire de plus en plus sur sa robe au point d’élargir son décolleté jusqu’à offrir une vue pour le moins indécente sur une large partie de ses gros seins. Je ne sais pas si elle s’en aperçoit mais si c’est le cas, il est clair qu’elle cherche à m’allumer et je joue le jeu en me collant le plus possible. Mes mains montent jusque sous sa lourde poitrine. Elle ne me repousse même plus lorsque je ...