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Élodie, Coralie et leur maman... (3)
Datte: 26/10/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... faisais la bise ils ont dû se dire que le sentais la femme tout de même. Je suis déshabillée et me suis allongé en femme sur mon lit. C’est rapidement que je me suis endormi avec tout plein de souvenirs magnifiques et sensuels dans la tête. J’étais pressé de pouvoir vivre un nouveau WE comme celui que je venais de vivre, Elodie avait fait de moi un queutard soumis. Ah si mes parents savaient, ah si mes collègues savaient ah si mes amis savaient. Ah si ils savaient que de hétéro très difficile je suis capable désormais de devenir un enculé soumis à tous les désirs de femmes. Excepté quelques petites douleurs à mon anus j’ai quand même très très bien dormi cette nuit là. J’étais impatient de revoir ma chérie le lendemain au travail. Elle est arrivée vers midi alors que moi j’avais commencé depuis déjà 2h, elle émerveillait les journées quand je la voyais. Elle est venue me voir en me demandant si sa grosse cochonne avait passé un bon WE Il allait de soi que la grosse cochonne c’était moi et je lui ai répondu que j’avais passé un excellent WE... Elle m’a informé que sa mère et sa sœur étaient très heureuses d’avoir fait ma connaissance..; elles seraient très heureuses que nous nous revoyions dans des circonstances semblables Nous avons réussi à prendre notre pause ensemble, c’est à cette occasion qu’elle m’a dit qu’elle aimerait que nous allions toutes les 4 faire les boutiques le mercredi suivant Je lui dis que ce serait avec plaisir, d’autant qu’elle avait veillé à vérifier ...
... la compatibilité de mes horaires. C’est ainsi que je me suis retrouvé le mercredi à 16h15 chez elles; roulages de pelles en règle aux trois, puis nous sommes montés dans la chambre d’Elodie, ma chérie. D’office, elle m’a fait déshabiller pour me faire belle et ainsi avoir droit à une pipe et un touché rectale... Après m’avoir fait toute belle, elle m’a fait allonger sur son lit, là elle a soulevé sa jupe et est venue se mettre à cheval sur moi pour me donner son minou à brouter. Ses genoux étaient sur mes bras et je n’avais d’autre choix que d’avoir sa foufoune dans le nez et la bouche. Elle m’a ordonné de lui laper son abricot jusqu’à ce qu’elle prenne son pied, il y des missions plus désagréables... Cela n’a pas été bien long, j’adorais le gout et l’odeur de sa cyprine; elle m’a plaqué le visage contre sa touffe, à pris son pied, à poussé de petits cris puis elle s’est relevée Ensuite elle m’a dit de renfiler mon jean et mon sweat, c’est vrai que à travers on ne voyait rien. Par contre je ne vous raconte pas la sensation de sentir mes jambes gainées de nylon frotter contre le jean, du coup une fois habillée j’avais un braquemart digne de ce nom. Je me sentais de plus femme avec toute cette douceur à même la peau. Nous sommes descendus et je constatais que Coralie et sa maman nous attendaient, elles nous attendaient pour aller faire des courses. Pas de doute, elles savaient ce que nous venions de faire, d’autant que j’avais le visage encore plein de cyprine... Ça y est, nous ...