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Tango des ombres du désir
Datte: 03/11/2020, Catégories: f, h, fhh, hh, copains, prost, nympho, taille, jardin, danser, fête, collection, amour, fdomine, revede, double, Partouze / Groupe fsodo, fantastiqu,
... laissait faire en grimaçant. Les victimes étaient des hommes et des femmes de tous âges, apparemment libres de se laisser attacher, généralement de nuit et à l’extérieur, pour d’inquiétantes séances de gravure sur corps. À cette occasion, j’ai d’ailleurs remarqué qu’elle-même possédait ce genre de dessin sur son ventre, autour du nombril. Rafael n’a pu le remarquer l’autre jour, car elle portait un corsage pour tout vêtement. Cela expliquait la pudeur de celle dont ces images m’ont confirmé qu’elle était la vénusté même. À partir de cette nuit-là, le désir d’elle et de son corps de déesse s’est ancré en moi plus solidement, plus amèrement que jamais. Il me fallait l’étreindre ou bien en perdre définitivement la raison. Soudain, j’ai entendu un cri. Rachel devait elle aussi faire un cauchemar. Je suis retourné dans le lit afin de la prendre dans mes bras et tendrement la consoler. Elle pleurait. Quand elle a ouvert les yeux, son regard est tombé immédiatement sur l’ours en peluche blanc, et elle a hurlé à nouveau. Il m’a bien semblé qu’elle ait fait un rêve similaire au mien… j’ai dissimulé l’inquiétante créature sous le lit. — Jean, c’est horrible… ce truc, là, avec des poils, il t’a… bouffé le sexe !— Moi aussi, j’ai fait ce rêve. Calme-toi : rien n’est vrai dans tout ça. Tu peux te rendormir.— Non, je ne peux pas ! Console-moi, viens au creux de moi : j’en ai besoin. Elle tremblait et avait le plus grand besoin que je lui prouve que les images horribles qui avaient défilé ...
... devant ses yeux n’étaient pas réelles et que je possédais encore toute ma virilité. De mon côté, les images dénudées d’Électre m’avaient excité d’une solide bandaison me permettant de pénétrer ma compagne sans aucun préliminaire, puisque c’était ce qu’elle désirait. Elle s’est agrippée à moi et blottie contre mon corps, rassurée par mon odeur d’homme qui la comblait à l’endroit où son vide réclamait ma chair de mâle. Sans bouger, nous sommes restés assez longtemps reliés par nos sexes, sans éjaculation ni orgasme et sans échanger de paroles, tout en tendresse et en complicité. Cela m’a permis de l’apaiser. Puis nous nous sommes enfuis de cette chambre en nous promettant de ne plus y revenir, sauf pour effacer nos traces et restaurer la pièce dans son état initial, afin qu’Électre ne se rende pas compte de l’intrusion au cours de notre nuit de folie. ooOoo En début d’après-midi, j’ai accompagné mon amie à la gare pour l’aider à porter ses bagages et aussi parce que sa présence m’apaisait et que je voulais retarder l’heure de nous séparer. Rachel est incorrigiblement nymphomane ! Dans le train, elle n’a pas pu s’empêcher de séduire son voisin de siège, un jeune homme qui l’heure d’avant était puceau, à peine sorti de l’adolescence, avant de l’emmener aux toilettes pour lui faire découvrir un aspect assez plaisant de la vie, en des coquineries dont elle m’a envoyé quelques photos osées au moyen de son téléphone portable. Lorsqu’elle est rentrée chez elle, son mari a dû sentir la ...