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Tango des ombres du désir
Datte: 03/11/2020, Catégories: f, h, fhh, hh, copains, prost, nympho, taille, jardin, danser, fête, collection, amour, fdomine, revede, double, Partouze / Groupe fsodo, fantastiqu,
... nue, puis elle s’est assise sur mes genoux, jambes largement écartées, face à moi. Elle a ôté sa capuche, me révélant soudain son visage d’ange et ses yeux de feu. Quand j’ai vu sexe légèrement herbu, le dessin de Rafael m’est revenu en mémoire. Son corps était celui d’une déesse, sans aucun défaut, étonnamment léger malgré sa taille et sa croupe charnue. Des seins de belle forme, fermes, doux et volumineux que je pouvais enfin palper, et même en mordiller les aréoles. Un ventre lisse et blanc qui se laissait parcourir par mes doigts avides. Des lèvres salées que je pouvais joindre enfin aux miennes sans qu’elle s’y oppose, et elle savait sortir sa langue pour la rouler contre la mienne. Son haleine faisait mon bonheur. À moi qui étais affamé de sa chair féminine, qu’aucune femme parmi celles, nombreuses, que j’avais tenu dans mes bras n’avait pu rassasier, elle s’est offerte toute entière. Alors les signes secrets gravés sur son ventre, qui parlaient d’un ailleurs dans un langage incompréhensible, m’ont sauté au visage. Pour lui parler, plus aucun mot ne traversait mon esprit. Les pulsions de mon sexe avaient pris le contrôle. Pour acquiescer, j’ai seulement hoché la tête. Elle a abaissé ma braguette et sorti ma verge du caleçon. Sexuellement, j’étais à jeun depuis une semaine pendant laquelle je n’avais simplement pas envie, un record. À la vue de ce corps, mon membre s’est mis immédiatement debout, d’une raideur parfaite, le gland violacé et suintant la rosée du désir. ...
... L’expression de ma part animale devenait incontournable, et prenait le pouvoir sur mon esprit. — Ne crains pas : je ne vais pas te faire de mal. Laisse-toi aller : tu vas passer un moment très agréable. Elle m’a d’abord lié les poignets sur le dossier du banc avec des cordelettes qu’elle a extrait de la poche de son manteau. Je me suis laissé faire en confiance et en silence, contemplant le corps extraordinaire qui me retenait prisonnier. Puis elle a levé son bassin, et s’est simplement assise sur mon sceptre d’homme. J’ai senti une résistance et vu un peu de sang clair s’écouler. Ce n’est pas moi qui l’ai déflorée : elle s’est transpercée elle-même. Elle était très étroite et, de plus, aspirait mon membre d’une façon que je n’avais jamais rencontré auparavant, malgré mon expérience des femmes. Le plaisir est monté très vite, très fort, et il ne retombait pas. Quand j’ai joui en elle, j’ai cru mourir d’épectase, le cœur submergé d’émotion. J’ai dû aussi arborer une grimace à laquelle elle m’a répondu par son sourire. À demi conscient, j’ai lâché prise, offrant mon visage à la pluie bienfaisante qui redoublait d’intensité, buvant l’eau qui venait du ciel. Malgré l’abondance du sperme que j’ai éjaculé, pas une goutte de la liqueur fertile ne s’est échappée de son vagin. Elle a extrait un canif de sa poche et ouvert la lame sous mes yeux. Normalement, j’aurais dû avoir peur, mais non, aucun effroi ne m’atteignait. Je m’attendais seulement à me réveiller comme après l’un de ces ...