1. Une femme de pouvoir (2)


    Datte: 23/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    La première journée du séminaire touchait à sa fin. Sandra regagnait la chambre du palace où devaient s’enchaîner pendant deux jours les réunions et les ateliers. Elle reçut un message de David, le jeune employé qu’il avait entrepris dans son bureau, et qui n’avait cessé aujourd’hui de la déshabiller du regard. « Chère Sandra, je suis bien évidemment à votre disposition pour un nouvel entretien individuel. Avec l’envie farouche de vous montrer l’étendu de mes capacités… » Sandra était traversée par un trouble qu’elle ne savait résoudre. Depuis qu’elle avait avalé le membre époustouflant de son subalterne, elle rêvait de se faire prendre sauvagement par ce bel étalon. Elle se mit à se masturber en imaginant David entrer et sortir sa belle queue en elle. Sandra avait très envie de lui mais elle n’aimait pas l’idée de répondre, comme une vulgaire midinette, aux avances du jeune homme. Cette relation devait répondre uniquement à son envie et à son bon vouloir. « David, je prends note de votre disponibilité. Je ne vois pour l’instant aucune raison de vous recevoir. Mais vous devez rester disponible si jamais j’en ressentais le besoin. Merci de m’indiquer le numéro de votre chambre. » Sandra continuait à se toucher, prise dans ses contradictions. Afin de se calmer et de penser à autre chose qu’au sexe de David et aux bons moments qu’elle s’interdisait de vivre, elle descendit au sauna de l’hôtel. Alors qu’elle s’acclimatait doucement à la chaleur de la pièce, une autre femme vint ...
    ... briser le plaisir de sa solitude. Hélène, sa grande rivale pour le poste de Vice-président, et qui contrairement à elle n’avait aucun état d’âme à s’offrir au Patron, pris place sur le banc face à elle. Elles n’échangèrent pas un mot, pas même un bonjour et encore moins un sourire. Sandra jetait de temps à autre un regard sur son ennemi et les gouttes qui perlaient le long du corps d’Hélène éveillaient son imagination. Elle l’imaginait pleine de sueur lors d’un ébat torride avec Marc, leur patron. Et elle ne parvenait pas à savoir ce qui l’excitait le plus dans cette vision. Le sémillant quinquagénaire, beau mâle et viril ou cette jeune femme, Hélène, aux formes charmantes. Au fil de ses songes, Marc disparaissait pour ne laisser place qu’à sa collègue nue, le corps luisant, en train de caresser sa légère poitrine, ses petites fesses toute fine et ses jambes interminables. La poitrine de Sandra commençait à être à l’étroit sans sa serviette, qu’elle décida de desserrer pour la faire retomber sur ses hanches. Par réflexe, Hélène jeta un coup d’œil et fit repartir son regard sur la poitrine de Sandra aussi vite qu’il y était venu. Jamais aussi heureuse que lorsqu’elle sentait les gens impuissants et gênés, Sandra décida d’entamer la conversation avec Hélène. -« Si je devenais ta supérieure, tu me ferais l’amour aussi ? Comme avec le patron… Demanda-t-elle d’une voix à la fois suave et péremptoire. -« Je ne couche pas avec Marc parce qu’il est mon patron, Sandra… Je couche avec ...
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