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Dame Erika (16)
Datte: 26/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe
Chapitre 16 : La répétition ÉLISE Tous les huit, nous avons préparé un scénario ; un projet semble prendre forme, mais sans être très convainquant. Quelques idées par-ci par-là, sans plus. Après quelques minutes de discussions, j’ai l’impression de tourner en rond : ils n’arrivent pas à imaginer quelque chose de réellement concret. Sara s’énerve un peu : — Je crois qu’on ne va jamais y arriver… J’ai une idée ! Et si vous nous montriez des choses ? Ou peut-être que nous vous montrions ce que l’on sait faire. — Après tout, pourquoi pas ? Belle idée. Essayons, alors, réponds-je. Les deux servantes nous prennent par la main, Tina et moi, et nous emmènent sur le lit. Suivies de leurs petits copains, nous nous retrouvons toutes les deux allongées sur le dos. Une jeune langue masculine me fouille la chatte tandis que deux mains me caressent le bas du ventre ; c’est doux, c’est bon. Une petite langue toute douce me lèche, vient chercher la mienne et m’emporte dans un roulage de galoche assez impressionnant pendant que des mains me tripote allègrement les seins. Maintenant, mes tétons sont léchés et malaxés les uns après les autres. La langue dans mon vagin est en train de me mettre le feu. Avec Tina, nous nous tenons la main. Nous devons être mignonnes, comme ça : main dans la main, la chatte bouffée et les miches malaxées par, peut-être, nos ancêtres ; la situation est plutôt cocasse. Changement de stratégie : Sara s’assoit sur moi à califourchon, sa vulve contre mon ventre. Je ...
... viens d’avoir un demi-orgasme ; Sara a dû le sentir car elle se frotte les lèvres contre moi, ce qui m’excite encore plus. Elle me malaxe les seins avec vigueur tandis que son compagnon est toujours en train de me bouffer la moule. Je sens que s’ils continuent ainsi, je vais avoir un orgasme de folie. Je respire de plus en plus fort, signe de l’arrivée imminente de quelque chose qui va me faire hurler de bonheur. Elle le sait, la petite coquine qui se masse le clito sur moi ! Elle vient de me pincer et de faire tourner mes tétons avec une de ces forces ! Je couine, gémis. Oh, putain, que c’est bon ! Aah… Ah oui ! Oui ! Je crie ; Tina aussi. Je me cabre, décolle les fesses du lit ; arcboutée, je glousse, je gémis, je couine, je miaule. Sara est à cheval sur moi, sa vulve contre mon ventre, agrippée à mes tétons. Putain, elle me fait mal, la vache ! Elle est aussi secouée que moi par ses spasmes ; sa moule humidifiée par sa mouille glisse sur moi. Que c’est bon ! — Ouh ! Oh là là… Oui ! Que c’est bon… — Oh oui ! Oui… Ouiiii ! Je jouiiis… Elle m’achève avec une galoche ; son Étienne boit mon jus. Personne ne m’a jamais fait un truc pareil ; putain, mais qu’est-ce que c’est bon ! Nous reprenons notre esprit un instant ; les garçons n’ont pour le moment pas vraiment eu de plaisir. Idée ! J’interroge : — Nous allons mettre au point une nouvelle scène. D’accord ? Mes quatre apprentis répondent par un « oui, oui ! » enthousiaste. — Bon, les filles ; ça fait un peu mal au début. — Pas ...