1. Dame Erika (16)


    Datte: 26/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... provoquer l’érection des deux mâles par une fellation douce et minutieuse. Les deux servantes gourmandes sucent, aspirent et engloutissent le membre de Tom et de Pat avec une telle application que les phallus se dressent maintenant aussi fièrement que la colonne Vendôme. L’encapuchonnement de l’édifice se fait dans la douceur : un peu d’huile d’olive – toujours vierge – permet de faire glisser facilement les étuis en boyau de porc sur les membres virils. Les deux jeunes femmes, toujours sous la direction d’Élise, après avoir enduit la capote artisanale de lubrifiant végétal, s’introduisent un doigt – voire même deux – dans le conduit rectal et enduisent son entrée de façon à ce que le gode mi-animal, mi-humain puisse pénétrer aussi facilement que possible. Ce geste préparatoire indispensable à cette opération de dépucelage du derrière des damoiselles accompli, elles se mettent en position. À genoux sur le lit, de dos au-dessus de leur porte-phallus, l’anneau rectal bien placé, elles commencent une descente prudente sur le gland. Le début se passe bien ; il semble même que les bougresses y prennent un certain plaisir. La résistance des muscles rectaux provoque quelques grimaces de douleur. Élise guide les prétendants pour qu’ils participent activement à cette opération : ils couvrent de caresses et de baisers les seins et palpent les vagins dégoulinants de mouille, ce qui fait monter en elles un désir, une excitation grandissante de sentir entrer en elles l’engin qui les ...
    ... pénètre doucement. Les visages grimacent ; de petites larmes de douleur perlent au coin des yeux ; les mains tirent sur les fesses pour écarter au maximum l’entrée du boyau que le gland distend en y pénétrant ; des « Aah… » de douleur se font entendre. Un coup à quatre pattes, un coup assises, elles ondulent du bassin pour faciliter la pénétration qui progresse doucement. Elles entament un va-et-vient. Leurs mains vont de leur sexe à leur tête en passant par leur poitrine ; elles semblent vouloir se broyer les seins, s’arracher les cheveux dans des « Ah… Ah, oui ! » de plaisir jusqu’à ce que le phallus entre en entier dans le rectum. owuoxxhz Élise les fait se coucher sur le torse de Pat et de Tom et accompagne Renaud et Étienne d’une pénétration vaginale douce au début, puis intense. Les deux filles doublement empalées donnent la cadence, les mains sur les fesses des garçons. Elles gloussent, miaulent, crient aussi. Pour faire taire ces chattes en chaleur, Élise et Tina placent leur chatte sur la bouche des demoiselles pour profiter d’un cunnilingus endiablé : chacun a son propre plaisir, bien différent les uns des autres. Ode et Sara arrivent à un orgasme si puissant que des larmes coulent le long de leurs joues, rapidement séchées par les empaleurs auxquels l’orgasme se communique. Cet acte, mis en scène selon les goûts de la dirigeante et approuvé par tous, sera intégré à la pièce. D’autres actions plus légères, nécessaires pour assurer une bonne récupération entre les actes, ...