Carine passive
Datte: 03/05/2021,
Catégories:
fh,
copains,
Collègues / Travail
complexe,
fsoumise,
cérébral,
BDSM / Fétichisme
nopéné,
conte,
portrait,
Bonjour,Je fréquente le site depuis pas mal de temps et finalement je vais essayer de me lancer à écrire un texte. J’attends donc vos commentaires, (en bien ou en mal) de préférence constructif en espérant être à la hauteur de mes ambitions.Ce récit est donc imaginaire, les idées viennent de moi, mêmes si j’ai probablement été influencé par mes nombreuses lectures sur ce site et sur d’autres ainsi que par les tonnes de papiers que j’ai feuilletés depuis que je suis en âge de lire. ooo000ooo Bonjour, je me présente : je m’appelle Carine, je suis brune, je mesure 1,75 m et j’ai 23 ans. Plutôt timide, il m’arrive quand même de me lâcher surtout quand l’un de mes frères ou l’une de mes sœurs me joue un tour et que je pète un câble. Il m’est aussi arrivé au lycée, de me laisser entraîner par ma meilleure amie, qui n’était pas à un coup tordu près. Sinon notre mère veillait sur nous comme du lait sur le feu, le père l’aidant parfois de sa ceinture. Voilà, je me suis présentée, je peux commencer à parler de mon histoire. Ah non ! Je n’ai pas parlé de mes rêves. Depuis toute petite, je me trouve trop grosse, trop blanche, pas assez blonde, bref jamais comme il faut. Il faut dire à ma décharge qu’au lycée, la plupart des mecs regardaient les blondes filiformes, sans jamais se préoccuper de savoir s’ils aimaient une fille ou une teinture à 4 €. Si aucun ne m’approchait, c’est aussi que je n’étais qu’une des sœurs de mes abrutis de frères et que dès que nous approchions de leur bande ...
... de copains, nos frères nous viraient comme des malpropres. Dès lors, mon plus grand rêve était de quitter la maison et d’avoir mon chez moi, avec ma garde-robe et mes copains et copines. **/** C’est ainsi qu’à vingt ans, mon diplôme en poche, je commençai à écrire un peu partout sans relâche jusqu’a obtenir un rendez-vous qui déboucha sur un emploi de secrétaire à 130 km de chez mes parents. Je louai d’abord une chambre chez l’habitant, finance oblige avant, quelques mois plus tard, de me louer mon propre appartement. Ça y était, j’avais mon chez-moi, seule et indépendante dans une grande ville où je pouvais sortir sans tomber sur un membre de ma famille. J’ai bien eu quelques flirts, mais rien de vraiment sérieux jusqu’à Max, un collègue de travail avec qui je me mis à sortir de plus en plus souvent, jusqu’à ce qu’il vienne vivre chez moi. C’est aussi à ce moment là que je me disputai avec mes parents qui ne comprenaient pas que je puisse me mettre en ménage avec un collègue qui profitait de l’hébergement sans aucune compensation ni participation dans mon loyer, mes charges et les courses de tous les jours. Pour une fois qu’un homme me trouvait jolie et me le disait, je ne voulus rien entendre d’autre. Petit à petit, mon appart devint le lieu de rencontre de tous les copains de Max, et le lieu d’interminables fêtes chaque week-end. Les « amis » se gênèrent de moins en moins, la plupart se servaient sans demander mon avis, et je n’en vis jamais aucun donner un coup de main les ...