1. Educatrices Ch. 06


    Datte: 14/05/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,

    Coulybaca - Texte personnel. Tous les jeunes participant physiquement à l'action sont âgés de plus de 18 ans. Chapitre 6 : Les 18 ans des cadets, le concours Les semaines, puis les mois passèrent, les quatre femelles étaient main-tenant sous totale influence, chaque week-end l'infirmière et les deux éducatrices mettaient leurs bouches, leurs cons, leurs culs à l'entière disposition de leurs maîtres qui ne se privaient pas de les utiliser fré-quemment. La pharmacienne, propriété commune, ne passait pas la totalité de cha-que week-end en leur compagnie, mais était tenue de leur consacrer le samedi ou le dimanche quand elle ne pouvait plus, elle leur livrait cha-que semaine son emploi du temps pour la semaine suivante. De plus, en semaine, souvent le mercredi ils leur faisaient la surprise d'une visite qui se terminait chaque fois par des ébats dans le lit conjugal Aucune des quatre n'avait plus de velléité de résistance, elles se pliaient à tous leurs caprices, mêlant volupté et honte dans un cocktail de jouissances. Cependant, les plus jeunes commencèrent à murmurer, ils n'avaient pas été sans remarquer les allées et venues suspectes des quatre jeunes femmes. D'abord étonnés de ces visites régulières, ils ne tardèrent pas à flairer un coup fumant, et se mirent alors à épier leurs aînés. Ils notèrent d'entrée les tenues érotiques des jeunes femmes le week-end ; leurs vêtures contrastant fort avec leurs habituels habits de travail. Samedis, dimanches, fini les jupes longues, ...
    ... les pulls ras du cou, les pantalons androgynes, ils laissaient place aux mini jupes, aux corsages échancrés, transparents. Ces premières constations les incitèrent à approfondir leurs investigations . Ils déployèrent des trésors d'imagination pour en savoir plus. Robert, le plus inventif, peut-être parce que le plus déluré, mit au point un dispositif infaillible qu'ils expérimentèrent tous avec rapidité. Ils fixèrent un petit miroir sur le dessus de leurs chaussures, il leur suffi-sait alors de le glisser avec discrétion sous les jupes de ces dames pour découvrir leurs avantages en toute impunité. C'est seulement à ce moment qu'ils virent leurs soupçons les plus déli-rants confirmés : elles se baladaient sans culottes ces salopes! Leur opinion faite, ils s'attachèrent alors aux gestes de leurs aînés, sans surprise, ils observèrent les mains fouineuses passer sous les jupes, les imaginèrent palpant les cramouilles désirées, pinçant les fesses opulen-tes, se régalant de tous ces chairs normalement interdites. Combien de branlettes exigèrent ces observations, ils auraient pu seul le révéler! Puis les langues se délièrent, ils osèrent des plaisanteries douteuses : - Tiens encore Miloud la main au panier... Au panier de Fabienne bien sur... Qu'est ce qu'il cherche? La figue? - Alors tu veux tapisser? Tu cherches la colle? - Et Stephan... Regarde il cherche le sel ou la crème? Puis il testèrent leurs réactions, caressant furtivement sous leurs yeux les appâts convoités. Aux premiers ...
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