1. La soirée d'entreprise


    Datte: 24/08/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio,

    Se retrouver, pantalon baissé, queue au garde-à-vous plantée dans la moule de la jolie secrétaire du patron. C’est une situation "classique" qui peut arriver à tout cadre d’entreprise soucieux de la bonne relation avec ses subalternes de l’autre sexe. Mais que ceci se passe dans une arrière-salle de restaurant, lors de la soirée de fin d’année de l’entreprise qui nous emploie, ça commence à être plus particulier. Où cela devient vraiment gratiné, c’est que la scène se déroule au milieu de la piste de danse, devant près de la moitié des employés encore présents à cette heure tardive. Plusieurs collègues masculins m’encouragent d’un air détaché, une bière à la main. — Vas-y, montre-lui de quel bois tu te chauffes… limes-la à fond, fais-la jouir ! La majorité des femmes encore présentes est plus discrète, certaines donnant l’impression de plutôt désapprouver ce qui se passe tout en regardant d’un œil "voyeur" la tournure que prennent les évènements. Ma secrétaire personnelle, Marie-Pierre, très jolie femme un peu précieuse, me trouble complètement, elle tourne autour de nous comme une indienne autour de son totem, nous invectivant, devenant presque vulgaire : — Baise-là fort, plante lui ton pieu au fond, caresse ses seins, mets un doigt dans l’anus, frotte son clitoris, flanque-lui une claque sur les fesses… L’alcool aidant, elle se déchaîne, à se demander si elle n’aurait pas le désir secret d’être à la place de Suzanne. À l’évidence, notre performance la "branche". Le ...
    ... va-et-vient sur la longueur de ma bite fait monter la sève, je mets le turbo et lime encore plus profondément. Je m’accroche des deux mains aux hanches de ma compagne qui halète. Dans un souffle, au bord de la rupture, elle me dit : — Ça vient ! Son fourreau se contracte d’excitation, ma verge se tend de bonheur. Suzanne jouit en ahanant : — C’est bon, oh, c’est bon… Je passe le cap de non-retour et éjacule longuement au fond de sa matrice en plusieurs jets saccadés. Je caresse encore longuement ce fessier, me penche pour soupeser et malaxer cette magnifique paire de seins. Quelques massages le long de la colonne vertébrale la font ronronner. Lentement, comme à regret, je me détends et sors mon engin de son étui de chair. Suzanne se relève, se retourne, m’embrasse fougueusement, me tenant par les fesses. Nous ondulons lentement au son de la musique langoureuse diffusée par les haut-parleurs pendant plusieurs minutes, pantalon et slip sur mes chevilles, ma compagne nue dans mes bras, un sourire de contentement sur les lèvres, un souffle de profonde satisfaction parcourant nos corps. Quelques autres couples se reforment et dansent en nous observant du coin de l’œil. Marie-Pierre, ma secrétaire personnelle, toujours très excitée, s’est annexée à notre dernier jeune stagiaire (au moins quinze ans de moins qu’elle) et l’embrasse à pleine bouche, se laissant peloter de façon indécente. Je remonte mon slip et mon pantalon alors que Suzanne tarde à se rhabiller, elle adore jouer à ...
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