Mon voisin, M. C*** (2)
Datte: 26/08/2021,
Catégories:
Gay
Première fois
Après cette séance de pompage intensif, durant laquelle M. C*** s’était montré beaucoup plus à l’aise que je ne l’aurais pensé, mon voisin bailla à s’en décrocher la mâchoire. Les yeux rouges, il semblait maintenant sur le point de s’effondrer de sommeil et je lui proposais d’aller se coucher dans ma chambre. Après un court moment d’hésitation (« t’es sûr que ta mère va pas rentrer ? »), il accepta et s’étendit sur mon lit puis s’endormit rapidement. C’était l’été et il faisait chaud ; il s’était donc étendu sur mes draps, sans se couvrir. Il était maintenant complètement nu et je pouvais contempler son torse bien dessiné ainsi que le bout de ses tétons, qui continuaient à pointer. Ses bras puissants me faisaient littéralement craquer, tout comme son visage carré. Seul son ventre légèrement rebondi et les valises qu’il avait sous les yeux me gênaient un peu car je savais qu’ils étaient la conséquence de son alcoolisme.Après de longues minutes de contemplation, je décidais de retourner dans la salle de bain pour y mettre un peu d’ordre. Bien alcoolisé (et mal guidé par ma main !), M. C*** avait uriné à côté de la cuvette et ses vêtements, mouillés eux aussi, avaient besoin d’être lavés. Je décidai donc de faire une machine puis de passer le tout au sèche-linge pour que ses habits soient prêts à son réveil. Ces petites taches ménagères effectuées, je décidai de me coucher dans le canapé du salon pour me reposer. L’émotion était toutefois trop forte et je ne dormis que d’un ...
... œil, les ronflements de M. C*** n’aidant pas !Le lendemain matin, je me réveillai tôt. Après être passé aux toilettes et avoir pris une douche bien chaude, je décidai de préparer un bon petit déjeuner pour M. C***. Mes talents culinaires étant limités, je me contentais d’ouvrir un paquet de brioche, de faire du pain grillé, de préparer du café et d’ouvrir une bouteille de jus d’orange. A 9h, je me présentai avec un plateau plein de nourriture dans ma chambre, où une forte odeur de mâle alcoolisé régnait désormais. Anxieux, je déposai le plateau sur ma table de nuit et m’approchai doucement de M. C***. Puis, je lui passai délicatement la main sur le visage. Ce geste eut pour effet de faire sursauter mon voisin, qui sembla mettre une fraction de secondes à se rappeler où il était et à me reconnaître.- Bonjour !, dis-je, inquiet.- Bonjour, p’tit pédé, finit par me répondre M. C***, avec un regard lubrique.- J’espère que vous avez bien dormi… Est-ce que vous avez faim ?, m’enquis-je.- J’ai plutôt envie de pisser, dit-il en laissant apparaître une belle demi-molle. Tu m’accompagnes ? demanda-t-il en se levant.Comme hypnotisé par la situation, je suivis M. C*** jusqu’à la salle de bain. Une fois devant la cuvette, il me demanda, non sans malice dans la voix :- Tu m’aides, p’tit pédé ?Mi amusé, mi gêné, je repris la bite de mon voisin en main et la dirigeai vers la cuvette, en faisant plus attention, cette fois, à bien viser ! Un puissant jet doré se mit alors à couler durant plusieurs ...