1. Participation


    Datte: 26/08/2021, Catégories: ffh, jeunes, freresoeur, vacances, bain, chantage, Oral 69, pénétratio, ecriv_f,

    Ce matin, je me lève très tôt et je sors me promener, pour profiter de la fraîcheur, toute relative finalement, du lever du jour. Il est sept heures du matin et je ne porte qu’un caleçon, mais, déjà, je sens la chaleur m’envahir. Je retourne à la maison et je vois partir Emilie. Sur le chemin, la voiture laisse derrière elle un épais nuage de poussière. La terre est très sèche, l’eau manque. La journée va être très chaude. Dans la cuisine, Audrey est en train de déjeuner. Elle porte sa nuisette noire habituelle, toute simple. Mais, moi, je l’aime bien, car, quand elle est assise, on voit le haut de ses cuisses. Des cuisses bien fermes, bien dessinées qui donnent envie de les caresser. Je m’assois en face d’elle et je mange. De temps en temps, je la regarde, mais elle ne lève jamais les yeux dans ma direction. Il faut dire qu’elle n’est pas du matin et qu’elle n’est jamais très bavarde au sortir du lit. Je quitte la table avant elle et je rejoins ma chambre. Quelques minutes plus tard, je l’entends marcher d’un pas traînant dans le couloir. Soit elle n’est pas réveillée, soit elle n’a pas le moral, mais elle n’a pas l’air dans son assiette. Je sors de ma chambre et attaque : — Alors, tu t’es bien amusée avec Emilie ?— Oui, oui, répond-elle, tout de suite sur la défensive.— Ça faisait longtemps que vous ne vous étiez pas vues. Vous avez dû vous en dire des choses, hein ? T’as appris des nouveaux trucs à son sujet, non ?— Bon, j’ai pas trop envie de parler là, alors… Elle ...
    ... tente d’esquiver, mais je la retiens par le bras. — Tu vas m’écouter ! Je sais tout. Je vous ai vu.— De quoi tu parles ?— De toi et d’Emilie. À la rivière. Son visage est plus pâle, ses mains tremblent. — Tu délires. Qu’est-ce que t’as encore inventé ?— Tu sais très bien de quoi je parle. Tu avais l’air d’aimer ça.— T’es devenu fou ! Tu racontes n’importe quoi !— Ah oui ! Et ça, c’est quoi ? J’ouvre ma main dans laquelle je tiens le dictaphone depuis le début de la conversation. Je le mets en marche et je la regarde dans les yeux. — Hhhh, mmm, c’est bon. Oh ouii, encore, j’aime ce que tu me fais ! Hmmm, ooohh oui… Je coupe le son et elle me dit : — Ça m’étonnerait que tu aies entendu ça à la rivière.— C’est vrai, tu as raison…C’était dans ta chambre hier soir. L’esquisse de sourire de victoire qui s’était dessiné sur son visage s’évanouit aussitôt. Ses yeux se remplissent de larmes, sa lèvre inférieure tremble. Et avant que je puisse faire le moindre mouvement, elle me balance une grande claque. — Salaud ! Et là devant moi, elle se met à pleurer. Silencieusement, ses larmes coulent sur ses joues et tombent sur sa nuisette. Je ressens de la honte, mais ce sentiment est vite effacé, car je veux vraiment atteindre mon but. — Ne dis rien à maman, me supplie-t-elle à travers ses larmes.— Pourquoi pas ?— Tu sais très bien comment elle va réagir, je vais sûrement me retrouver en pension à des kilomètres d’ici. Loin d’Emilie.— Mon silence dépend de toi.— Qu’est-ce que tu veux ?— Je veux ...
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