1. À la rescousse de Delphine


    Datte: 30/08/2021, Catégories: f, h, fh, 2couples, inconnu, cinéma, telnet, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, pénétratio,

    Nous sommes, ma femme Claire et moi, subitement tombés en panne de machine à laver le linge. Le verdict du réparateur n’est pas pour nous réconforter : elle est bonne pour la casse. Ne pouvant pas nous permettre de faire l’acquisition d’une neuve, je décide alors de faire les petites annonces. J’attends patiemment le lendemain matin pour les parcourir. Sans l’avis de mon épouse, partie rejoindre son travail, j’en sélectionne trois. Je m’installe devant l’appareil téléphonique et compose le premier numéro de ma liste. Premier échec : vendu ; le second : répondeur, ainsi que le troisième. Le découragement m’envahit rapidement. Je reprends le journal et replonge, pour en sélectionner de nouvelles ; bien sûr, les prix ne sont plus les mêmes, mais bon, il nous en faut une au plus vite. Une, deux, trois sonneries, le déclic de l’appareil, puis une voix douce et sensuelle prend le relais : — Allo.— Oui, bonjour Madame, je vous appelle à propos de l’annonce que vous avez passé sur le journal, concernant la machine à laver.— Oui, bien sûr. Elle se met alors à me décrire la machine sur toutes les coutures, comme une parfaite vendeuse. J’ai même du mal à en placer une, tant elle est bavarde ; pour mon plus grand plaisir, me direz-vous, tant sa voix est excitante. Très vite, au cours de la discussion, la machine perd peu à peu de l’importance, faisant naître un dialogue de vieux amis retrouvés après une longue absence. Tout y passe, les vacances, la voiture, la maison, je pense ...
    ... qu’elle a un grand besoin de parler. Je commence à m’enhardir, ce débat m’attise, et là je ne sais pas pourquoi, je me lance, un flash ! je m’entends dire : — Parlez-moi un peu de vous, comment êtes-vous physiquement ?— Mais Monsieur, je ne sais pas si je dois ! Je ne vous connais même pas ?— Nous ne faisons rien de mal, Madame, seulement discuter, et si vous me disiez votre prénom, cela vous ennuie de me le dire ?— Oh ! Voyons Monsieur, en voilà des manières !— Allez, juste pour me faire plaisir, et j’achète votre machine.— Je pense qu’à présent il n’est plus question que je vous vende ma machine. Surtout en me faisant du chantage, comme vous faites. Monsieur, je vous rappelle que je suis mariée, moi. Au bout de quelques secondes de silence, elle dit : — Delphine.— Enchanté, Delphine, moi c’est Alain. Vous savez, Delphine, pour ne rien vous cacher, à travers votre voix, je vous imagine merveilleuse. J’aimerais, si je peux me le permettre et si vous le désirez, savoir quelles sont vos mensurations, comment êtes-vous habillée, enfin tout, quoi, j’aimerais bien savoir avec qui je discute !— Mais dîtes donc, vous êtes intenable et en plus pervers. Bon, dit-elle en se calmant, je me présente. Donc Delphine, ça vous le savez déjà, institutrice. Brune aux yeux marron, de petite taille.— Très bien ! Les minutes se sont écoulées, tendres et érotiques. J’approfondis ma curiosité en lui demandant, de me révéler sa tenue vestimentaire. — J’ai un tailleur blanc cassé. Un chemisier de soie. ...
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