La maison de soins [sissy] (Ep. 3)
Datte: 06/08/2018,
Catégories:
Anal
Gay
Transexuels
... indifférent. Des choses comme quoi le professeur avait signé pour ma famille un papier d’internement à vie, sans visite, vu mon état ; le fait que je ne toucherai aucun salaire, mais que je serai logée-nourrie-blanchie, avec chaque mois une petite somme à dépenser en vêtement, chaussure, lingerie, maquillage, bijoux, crème de beauté ou parfum de mon choix sur un catalogue Internet ; que je devais libérer ma chambre « de soins » mais que j’en aurai une autre au dernier étage, un peu plus petite mais bien équipée, réservée au personnel. Elle me donna enfin un uniforme, et la liste des choses à faire. Mon service commençait à 18h00, et se finissait à 1h00 du matin. Mais elle me dit que ce n’était pas tuant, ou non-stop comme dans un hôpital, c’était beaucoup plus tranquille.Je passais le reste de la journée à déménager mes affaires vers ma nouvelle chambre. Elle était un peu plus petite, mais la salle de bain était identique, et j’avais la TV, connexion internet et un petit bureau. Tout ce qu’il me fallait ! Puis j’essayais l’uniforme… de bas blancs, qui montaient à mi-cuisse et tenaient par un élastique, un string blanc en dentelle, soutien-gorge assorti. Un tablier blanc qui se boutonnait vers l’avant, avec une poche sur laquelle était imprimée le logo de la clinique et un petit badge avec mon prénom. Lorsque je l’eus boutonné, je me rendis compte qu’il ne descendait qu’un peu plus bas que l’élastique des bas, et que ma poitrine mettait les derniers boutons à rude épreuve ! ...
... Je dus en ouvrir un pour relâcher la pression sur ces pauvres boutons, mais cela donnait un décolleté assez intéressant… Enfin une petite coiffe blanche avec le logo de la clinique complétait l’uniforme d’infirmière… quelque peu sexy ! A mon avis ce n’était pas permis dans les hôpitaux… Je remarquais que les infirmières de jour, celles qui faisaient vraiment des soins, avaient le même, mais en plus long, et en moins serrant sur le corps, en plus sage quoi… elles étaient vraiment là pour soigner, tandis que Jenny et moi étions là pour tenir compagnie à de riches messieurs fatigués, si je comprenais bien ce que Jenny m’avait dit. En journée, nous devions mettre l’uniforme « sage » si nous étions de service (et juste pour des fonctions d’accueil ou porter des plateaux nourriture au patient), et le soir nous devions porter l’uniforme sexy. Le professeur nous faisait parvenir chaque soir notre planning du lendemain, avec la liste des tâches à faire. Bref, ce n’était pas très compliqué !J’étais toute excitée pour mon premier jour « de travail ». Je commençais par la première tâche de la liste : le service buanderie avait nettoyé le linge des pensionnaires, qui était mis dans des sacs à leurs noms, je devais distribuer les sacs dans les bonnes chambres. La tâche suivante était de distribuer de petits godets avec les médicaments que certains pensionnaires devaient prendre. Chaque godet était nominatif, donc impossible de se tromper. Puis, rendre visite à la chambre 204. Chaque soir, ...