La maison de soins [sissy] (Ep. 3)
Datte: 06/08/2018,
Catégories:
Anal
Gay
Transexuels
... ne m’appelle, ce que je pouvais voir à une console fixée au mur. Chaque chambre était représentée par un carré, qui s’allumait si on nous appelait. Mais cette nuit fut calme, et je m’endormis vers 2h du mat. Je fis des rêves érotiques, j’étais attachée à un lit, la croupe offerte, et une douzaine d’hommes virils me prenaient sauvagement, à tour de rôle, jusqu’à ce que mon petit trou déborde de sperme chaud !Je m’acquittais de mes tâches les jours suivants, massant un homme encore plus âgé que le premier, suçant un autre… mais à la fin de la semaine, je n’avais toujours pas pu avoir mon petit cul rempli, ce qui me manquait terriblement. Pour me calmer, je décidais de faire un peu de jogging dans le parc. J’avais justement reçu ma première commande de vêtements, j’avais acheté des baskets roses et blanches, pour courir, de petites socquettes blanches, un mini short blanc, et un top de sport rose. Le short était très serrant, et le top très révélateur, et s’arrêtait juste en dessous de mes seins… Sous le short je mis un petit string en tissu rose fluo, plein, et très visible sous le short blanc. Ainsi habillée, je commençais mon jogging, sur l’allée qui faisait le tour du bâtiment et une boucle dans le parc. Courir me faisait du bien, même si ce n’était pas la même chose, de courir avec une poitrine format 95C que sans ! Deux promeneurs, des patients de la maison de soin, me virent, et s’assirent sur un banc pour me mater à l’aise. Je passais une fois, puis deux fois devant ...
... eux. Ils n’avaient d’yeux que pour moi. Au troisième passage, ils n’étaient plus là. Zut, moi qui croyais pouvoir prendre mon pied ! Je continuais à courir et retombais sur les deux gars, qui s’étaient assis sur un autre banc, dans la boucle du sentier qui était dans le parc. Je refis un tour, et commençais à être pas mal essoufflée. Revenue à leur hauteur, un des deux gars me fit signe.– Mademoiselle, vous êtes tout essoufflée, venez, asseyez-vous quelques minutes avec nous, pour reprendre votre souffle.Je lui souris et m’approchais d’eux. Ils étaient assis aux deux extrémités du banc, la seule place disponible était entre eux deux. Je m’y assis.– Un peu d’eau ?L’un deux me tandis une bouteille, de la clinique. Je le remerciais et bus une gorgée. Ils devaient tous les deux avoir la quarantaine, était bien bâti, et avaient des cheveux coupés à la brosse. L’un était blond aux yeux bleu, l’autre brun aux yeux noisettes. Ils étaient tous les deux en pyjama et peignoirs, comme tous les patients de la clinique. En discutant avec eux, j’appris qu’ils étaient gendarmes, et qu’ils avaient été blessés lors d’une intervention difficile. Après un court séjour à l’hôpital, ils étaient ici en repos. Je leur dis que je faisais partie du personnel de l’institut. Ils me sourirent, et l’un des deux posa sa main sur ma cuisse. Je compris pourquoi ils avaient changé de banc : celui-ci était caché du bâtiment par une rangée d’arbres. Ils pouvaient me faire ce qu’ils voulaient, on ne verrait rien à ...