1. Un rêve ou la réalité ?


    Datte: 27/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois

    ... à demi-mot. Elle vient de me dire qu’elle est la maîtresse de Rémy. Le quiproquo est total. J’ai en effet utilisé mon voyage pour mon boulot comme prétexte au retour impromptu du mari et c’est justement cette fois-là que les amants ont baisé chez moi. — Les autres fois, vous alliez où ?Surtout ne pas dire que je ne savais rien. Ne pas répondre à ses questions. Au contraire, la faire parler. Elle entre dans mon jeu : — Chez lui ou à l’hôtel. — Et pourquoi cette fois-là, à la maison. — Pour pouvoir répondre au téléphone si tu appelais sur le fixe. On voulait passer toute une nuit ensemble pour… enfin tu vois… — Je vois très bien. Mieux : j’ai vu ! — Tu as vu quoi ? Tu es revenu quand ? Plus tôt que prévu ? Ou le jour même de ton départ ? — Quelle importance ! Je suis passé chez moi et je vous ai découverts. — Mais pourquoi ne pas le faire savoir ? Pourquoi le garder pour toi. — Je ne suis pas de ces hommes qui font des esclandres et qui se ridiculisent devant leur femme et son amant. Au fait, cela dure depuis combien de temps ? — Six mois. Enfin six mois avant… à la maison. — Donc neuf mois. — Oui.Un long silence. Et puis : — Pourquoi tu n’as rien dit ? Tu ne m’aimes donc plus ? Cela t’est indifférent ? À moins que… — À moins que, quoi ? — Que tu sois content. Après tout, dans tes histoires, il y a souvent un mari cocu qui est heureux de l’être ou un mari candauliste qui aime regarder ; à moins que ce soient des échangistes, et je n’oublie pas les maris ou les femmes qui sont ...
    ... bi. On n’a pas une imagination à ce point, sans être concerné. Il faut bien y mettre du sien, de sa personnalité. Alors pourquoi ?Que dois-je répondre ? Avouer que je ne savais pas ?Mais si je dis que je savais, comment expliquer n’avoir rien fait ? — Si je comprends bien, tu as lu mes histoires. Je croyais que tu n’aimais pas ! C’est comme les vidéos érotiques, tu n’as jamais voulu qu’on en regarde ensemble. — J’ai bien le droit de changer d’avis ! Tu n’as pas répondu à ma question. Pourquoi n’avoir rien dit ? — Si je comprends bien, tu vas me dire que c’est de ma faute. Que je t’ai dépravée ! Que je t’ai donné des idées ! Des envies de vivre, non pas comme moi, par procuration, mais en réel. Essayer au moins le plaisir de prendre un amant. À moins que tu n’aies tenté d’autres choses… — Julien, je ne te permets pas. Un amant suffit, je n’ai pas essayé de suivre tes personnages dans toutes leurs recherches de la volupté… — Volupté ! Voilà ce qui m’a décidé de ne rien dire, de te laisser vivre cette aventure de femme infidèle. Il n’y a pas que dans les histoires que l’épouse honnête se transforme en femme libérée. Volupté et plaisir. Mais pas seulement…Agnès a reconnu son adultère en lisant mon histoire et les conditions qui me l’auraient fait découvrir. Mais en y réfléchissant, elle n’a pas protesté du rôle que je lui fais tenir, celle d’une maîtresse qui se donne entièrement à son amant en y ajoutant une perversité de femme assumée. Je reprends : — … Oui, pas seulement. Ma ...
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