Deux plus deux
Datte: 08/08/2018,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
cérébral,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
amourdura,
... plus. Je jetai un œil à Caroline, me demandant si elle avait remarqué. Elle avait les yeux tournés vers lui et souriait, ce qui ne fit qu’accroître encore mon trouble. — Je vais me coucher, finit-il par dire. Demain, on annonce de la pluie. Je vous propose d’aller jouer au squash. Je vous conseille de bien vous reposer car c’est assez physique. Ça vous dit ?— Oui, bonne idée, s’exclama Caroline. Ça fait très longtemps que je n’y ai pas joué, j’espère que ça va revenir. Nous nous levâmes tous et suivîmes Julien dans l’escalier. Arrivés devant la porte de nos chambres, nous nous souhaitâmes bonne nuit en nous faisant la bise. La joue de Véronique était chaude. Le contact me parut durer plus longtemps que nécessaire. Je fis de même avec Julien, sans me poser de question, comme si c’était naturel. Je sentis sa peau légèrement râpeuse contre la mienne, son souffle chaud contre ma peau, son regard posé sur le mien. ************** Je me déshabillai et me couchai rapidement. Mes pensées s’entrechoquent dans ma tête, le sang battait dans mes tempes. Et je bandais, naturellement. Caroline revint des toilettes alors que je me masturbais doucement, presque sans y faire attention, sous les draps. Son arrivée interrompit mes réflexions (ou plutôt le flot de mes pensées, car je ne parvenais pas à les ordonner en un tout cohérent et réfléchi). Je remarquai ses joues rouges et une petite ride sur son front, preuve qu’elle cogitait elle aussi. Je la regardai se dévêtir devant moi. Sa ...
... dextérité pour descendre la fermeture Éclair de sa robe dans son dos ne cessait de m’étonner. Malgré ses contorsions, elle le faisait avec grâce, sans aucun effort. Les fines bretelles glissèrent sur ses épaules, puis, comme une vague, la robe coula sur son corps, et elle fut nue devant moi, juste vêtue d’un string de dentelle mauve que je ne lui connaissais pas. Du reste, je ne me souvenais pas l’avoir jamais vue avec un string. Devant ma mine interrogative, elle m’expliqua : — Achat de ce matin. Joli, tu ne trouves pas ?— Si, très joli. Et super sexy. Tu es bandante ma chérie.— Merci du compliment.— Mais je ne te savais pas adepte du string.— Non ? Il n’est pas trop tard pour essayer.— Et alors ton impression ?— J’ai une ficelle entre les fesses ! déroutant au début. Mais on s’y fait.— C’est une suggestion de Véro j’imagine. Caroline ne répondit pas et vint se coucher à côté de moi, appuyée sur ses coudes, sa tête à quelques centimètres de mon torse, ses yeux verts rivés aux mien. Nous restâmes comme ceci, les yeux dans les yeux, durant de longues minutes. Je rompis le silence le premier : — Alors, tu en penses quoi ?— De quoi ?— Ben, d’eux, de Véro et Julien.— Eh, bien, fit-elle, cherchant ses mots… Je les trouve très sympa. Adorables en fait. Je ne sais pas comment dire. Je suis ici depuis à peine vingt-quatre heures, et c’est comme si on se connaissait depuis des années. J’ai l’impression qu’on a tout en commun, qu’on se comprend… C’est étonnant comme sensation.— Comme dit Véro, ...