1. Deux plus deux


    Datte: 08/08/2018, Catégories: fh, couple, amour, cérébral, noculotte, BDSM / Fétichisme intermast, Oral pénétratio, fsodo, amourdura,

    ... exploser entre ses lèvres ouvertes. — Oh c’est bon Caro, avale-moi ! Oui, encore, ne t’arrête pas ! Ouiiii ! fis-je en explosant. Caroline poursuivit sa caresse sans s’arrêtait, recevant dans sa bouche et dans sa gorge la chaude récompense de ses caresses. Elle n’en perdit pas une goutte. Et lorsqu’enfin elle sentit que je ne lui donnerais plus rien, elle se redressa sur ses jambes, et vint m’embrasser à pleine bouche. Son baiser avait un goût inhabituel, celui de ma semence, un peu âcre, mais pas désagréable, surtout partagé de langue à langue, de bouche à bouche. Nous restâmes ainsi enlacés de longues minutes. ************** Le soleil devait être levé depuis longtemps lorsque je me réveillai. La lumière filtrait à travers les volets. Dans le grand lit blanc où j’avais passé de longs moments de solitude ces derniers jours, Caroline dormait, en chien de fusil, la nuisette remontée sur la taille, dévoilant sa sublime paire de fesses. Dans cette position, les deux globes de chair s’entrouvraient et laissaient entrevoir l’abricot de chair dorée entre ses cuisses. Attendri, je la caressai doucement. Ne résistant pas à la tentation, ma main vint cueillir le fruit. Il était chaud et s’ouvrit doucement sous mes caresses, laissant couler son nectar que je portai à la bouche pour m’en délecter. Caroline dormait-elle encore quand un spasme de plaisir la secoua et que son clitoris rendit les armes entre mes doigts ? Je n’eus pas envie de le lui demander. Ouvrant les yeux, elle me ...
    ... gratifia d’un large sourire en disant : — C’est bon de se réveiller comme ça. Tu as des doigts de magicien mon chéri. ************** Julien et Véronique étaient déjà attablés lorsque nous descendîmes prendre le petit déjeuner. Une cafetière chaude, des tartines et un couple souriant nous attendaient. — Bien dormi ? demanda Julien avec un clin d’œil complice.— Comme un loir, répondit Caroline. Il n’y a pas un bruit ici. Juste les oiseaux. Ça change de Paris.— Tu te classes dans quelle famille d’oiseaux ? demanda Véronique.— Les oies blanches, sans doute, répondit Caroline en rougissant.— J’ai un doute… Enfin, je te rends ça ? fit-elle en lui tendant le tanga de dentelle rouge. Très joli en tous cas. Tu me diras où tu l’as trouvé ?— Dans une boutique à Paris. C’est l’avantage de la grande ville, on a le choix !— Oh tu sais, ici non plus le choix ne manque pas. Je te ferai visiter, tu verras qu’on trouve de très jolies choses.— De toute façon, on a bien prévu de vous faire visiter la ville aujourd’hui, poursuivit Julien. Mettez des chaussures confortables, nous allons faire une longue promenade. Et on vous invite au restaurant à midi ! Après un copieux petit déjeuner avalé dans la bonne humeur et parsemé d’allusions coquines, nous remontâmes nous préparer dans notre chambre. J’étais en train de fouiller dans mes affaires à la recherche de la tenue la plus appropriée lorsque Caroline s’approcha, la mine sombre : — J’ai mes règles, fit-elle, d’une voix dépitée.— Ah. Ben c’est la vie, ...
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