Ma drole de famille (9)
Datte: 08/08/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... redescend vers mon sexe et écarte les lèvres pour bien dégager mon clitoris tandis que je le pince entre mon pouce et mon index. Je suis parcouru d’un violent frisson, mais je ne veux pas jouir comme ça, je veux son sexe dans mon sexe une nouvelle fois, et je suis sûre que lui aussi. Je sens ma cyprine couler le long de mes cuisses, je suis prête. –Lèves-toi. Michel se lève, il bande comme un taureau. – Tu connais la position de la levrette ? –C’est quoi ça ? –Laisse toi guider. Je me mets à quatre pattes, les jambes bien écartées. –Viens t’agenouiller derrière moi, et tu trouveras tout seul ce que tu dois faire. –D’accord, je crois que j’ai compris. Il s’agenouille derrière moi, me prend par les hanches et présente sa bite juste à l’entrée de mon vagin. –Vas-y franchement, je suis formatée, je ne crains plus rien, prend moi comme une chienne, défonce moi le con. Michel m’attire vers lui brusquement, son gland me défonce et s’enfonce en une seconde jusqu’au fond de mon antre. Il me pistonne comme un fou, je sens son ventre me frapper les fesses, c’est miraculeux, je suis transportée dans les nuages, je vole, je plane, je ne suis plus dans mon corps, tout n’est que béatitude malgré la violence de ses va et vient. Je ne sens plus son sexe en tant que tel, je suis possédée par un engin démoniaque, je sens cette chose qui me laboure, mais qui me donne un immense plaisir, qui m’irise la peau, me fait vibrer, me sépare de mon corps. J’ai l’impression de vivre cette scène de ...
... l’extérieur, je nous vois, moi empalée sur un énorme vit et lui me pistonnant comme un fou. Après notre première séance, il a maintenant plus de résistance et je suis la première à être terrassée par un orgasme. Je ne dois de rester à quatre pattes qu’au fait qu’il me tienne. Il continu imperturbable, ses va et vient sont de plus en plus violents, j’ai l’impression qu’il veut me défoncer l’utérus qu’il touche à chaque mouvement. Il finit par se vider en moi en de long et violent jets. Je me sens rempli et repart dans un nouvel orgasme. En fait, c’est plus le fait de me faire défoncer la couenne par un braquemard hors norme qui me fait jouir plutôt que la technique de Michel, mais il débute et en définitive, s’en sort pas mal. Nous nous calmons lentement, Michel me maintient toujours en position, son sexe toujours au fond du mien. Même quand il ne bande pas, il tient beaucoup de place. J’aime me sentit remplie, j’aimerais pouvoir avoir tout le temps quelque chose dans le vagin. Michel se dégage ce qui me donne une immense impression de vide. Je m’allonge par terre en chien de fusil. Michel me regarde, il se penche sur moi, me prend dans ses bras derrière les genoux et le dos et me soulève comme une plume. Il se dirige vers la maison, va vers la table de la salle à manger et me dépose sur le dos, les fesses à la limite du vide. –C’est là que j’ai envie de toi. –Viens mon chéri. Il bande toujours et pour ma part, je suis toujours bien lubrifiée, le sexe rempli de foutre. Je suis dans ...